Notons d’abord que les genres de poissons sont multiples cependant, le meilleur est celui dont le goût est délectable, l’odeur suave, la masse moyenne, les écailles fines, la chair tendre et fraîche et qui vit dans l’eau douce coulante sur les graviers, se nourrissant de plantes et non déchets. Le meilleur habitat des poissons est la rivière à l’eau abondante. Le poisson se réfugie dans les endroits rocheux plus sableux ainsi que dans l’eau courante exempte de tout déchet et de toute fange, l’eau agitée et ondoyante, et exposée au soleil et au vent.
Le poisson maritime est louable et bénéfique. Le poisson maritime tendre est froid et humide, difficilement digéré et engendre beaucoup de flegme mais l’humeur qu’il déclenche est louable. Il fertilise le corps, accroît le sperme et amende les humeurs chaudes.
Le meilleur genre de poisson salé est celui qui est récemment salé. Il est chaud et sec et plus il devient ancien, plus sa chaleur et sa siccité augmentent. Le silure est très visqueux, et certains n’en mangent pas. Mangé tendre, le silure assouplit le ventre. Salé et desséché puis mangé, il purifie la bronche et améliore la voix. Broyé et appliqué de l’extérieur, il élimine le placenta et les déchets des profondeurs du corps car il est muni d’une force d’attraction.
Si la personne qui souffre d’un début d’ulcère dans les intestins s’assoit dans l’eau salée du silure, elle en tire profit considérablement car cette eau attire la matière à la surface du corps. Injectée dans le corps, cette eau remédie à l’inflammation du nerf sciatique.
La meilleure partie du poisson est celle qui est proche de sa partie postérieure. Le poisson tendre et gras fertilise la chair et la graisse du corps.
De par sa richesse en phosphore, le poisson est recommandé pour solidifier les os. Le phosphore est effectivement le principal composant des os en plus du calcium. De plus, ce nutriment favorise la réflexion. 100g de poisson apporte à l’organisme de 150 à 350mg de phosphore.
Le poisson est également une très grande source de fer, un micronutriment inestimable pour notre santé. L’apport en fer des végétaux est faible, contrairement à celui du poisson. L’apport en fer varie toutefois d’un poisson à l’autre. Le saumon rouge en conserve contient par exemple 0,67mg de fer par 75g. Le chinchard en conserve contient quant à lui 1,50g de fer par 75g. C’est d’ailleurs l’un des poissons les plus riches en fer. D’autre part, le poisson contient également des vitamines (A, B2, B12, C, D, E et PP) et d’autres oligo-éléments comme le cuivre et le zinc. Par ailleurs, on retrouve des Oméga 3 dans la chair du poisson. Il s’agit d’acides gras poly insaturés précieux. Les poissons d’origine marine apportent en plus de l’iode, du sélénium, du manganèse ou encore du cobalt.
Ces omégas 3 sont indispensables pour la protection du cœur contre les infarctus d'autant plus que l’organisme humain ne peut en fabriquer. Mais leurs vertus ne s’arrêtent pas là. Les Omega 3 font également baisser le taux du mauvais cholestérol, préservent le bon état des vaisseaux sanguins et améliorent en général le profil lipidique. Le rôle des acides gras Oméga 3 a été étudié dans le cadre de la prévention des maladies comme le cancer de la prostate ou la maladie d’Alzheimer.
A l’instar de ses nutriments, les bienfaits du poisson sur la santé sont multiples et très variés. Sa richesse en vitamines A est bénéfique pour la vue. Comme celles contenues dans la carotte, les vitamines A du poisson améliore la vue en construisant le pigment photosensible des yeux.
Le poisson, grâce aux vitamines, aux oligo-éléments et aux Oméga3 qu’il contient, optimise la croissance des enfants.
Par Serigne Samba Ndiaye
Chercheur, Tradipraticien, Phytothérapeute
Web: www.sambamara.com
Le poisson maritime est louable et bénéfique. Le poisson maritime tendre est froid et humide, difficilement digéré et engendre beaucoup de flegme mais l’humeur qu’il déclenche est louable. Il fertilise le corps, accroît le sperme et amende les humeurs chaudes.
Le meilleur genre de poisson salé est celui qui est récemment salé. Il est chaud et sec et plus il devient ancien, plus sa chaleur et sa siccité augmentent. Le silure est très visqueux, et certains n’en mangent pas. Mangé tendre, le silure assouplit le ventre. Salé et desséché puis mangé, il purifie la bronche et améliore la voix. Broyé et appliqué de l’extérieur, il élimine le placenta et les déchets des profondeurs du corps car il est muni d’une force d’attraction.
Si la personne qui souffre d’un début d’ulcère dans les intestins s’assoit dans l’eau salée du silure, elle en tire profit considérablement car cette eau attire la matière à la surface du corps. Injectée dans le corps, cette eau remédie à l’inflammation du nerf sciatique.
La meilleure partie du poisson est celle qui est proche de sa partie postérieure. Le poisson tendre et gras fertilise la chair et la graisse du corps.
De par sa richesse en phosphore, le poisson est recommandé pour solidifier les os. Le phosphore est effectivement le principal composant des os en plus du calcium. De plus, ce nutriment favorise la réflexion. 100g de poisson apporte à l’organisme de 150 à 350mg de phosphore.
Le poisson est également une très grande source de fer, un micronutriment inestimable pour notre santé. L’apport en fer des végétaux est faible, contrairement à celui du poisson. L’apport en fer varie toutefois d’un poisson à l’autre. Le saumon rouge en conserve contient par exemple 0,67mg de fer par 75g. Le chinchard en conserve contient quant à lui 1,50g de fer par 75g. C’est d’ailleurs l’un des poissons les plus riches en fer. D’autre part, le poisson contient également des vitamines (A, B2, B12, C, D, E et PP) et d’autres oligo-éléments comme le cuivre et le zinc. Par ailleurs, on retrouve des Oméga 3 dans la chair du poisson. Il s’agit d’acides gras poly insaturés précieux. Les poissons d’origine marine apportent en plus de l’iode, du sélénium, du manganèse ou encore du cobalt.
Ces omégas 3 sont indispensables pour la protection du cœur contre les infarctus d'autant plus que l’organisme humain ne peut en fabriquer. Mais leurs vertus ne s’arrêtent pas là. Les Omega 3 font également baisser le taux du mauvais cholestérol, préservent le bon état des vaisseaux sanguins et améliorent en général le profil lipidique. Le rôle des acides gras Oméga 3 a été étudié dans le cadre de la prévention des maladies comme le cancer de la prostate ou la maladie d’Alzheimer.
A l’instar de ses nutriments, les bienfaits du poisson sur la santé sont multiples et très variés. Sa richesse en vitamines A est bénéfique pour la vue. Comme celles contenues dans la carotte, les vitamines A du poisson améliore la vue en construisant le pigment photosensible des yeux.
Le poisson, grâce aux vitamines, aux oligo-éléments et aux Oméga3 qu’il contient, optimise la croissance des enfants.
Par Serigne Samba Ndiaye
Chercheur, Tradipraticien, Phytothérapeute
Web: www.sambamara.com