
La raison ? La présidence attend une demande de grâce formulée par Khalifa Sall et ses avocats. Ce qui tarde à être fait.
Mais, souligne la même source, la grâce présidentielle n’est nullement assujettie à une demande. Et de souligner que Mbaye Touré, l’ancien bras droit de Khalifa Fall, arrêté et emprisonné en même temps que l’ancien maire de Dakar, dans cette même affaire, a bien introduit une demande de grâce, qui n’a jusque-là, pas eu une réponse favorable.
Par ailleurs, indique-t-on, du côté de la Présidence, les nombreuses déclarations d’associations ou de personnalités pour la libération de Khalifa Sall, ne seraient pas du goût du président Macky, qui n’aimerait pas vouloir donner l’impression de céder à la pression.
Mais puisque la grâce présidentielle peut se faire à tout moment, pas seulement à la veille des fêtes religieuses ou d’indépendance, peut-être que la libération de Khalifa Sall interviendra incessamment.
Mais, souligne la même source, la grâce présidentielle n’est nullement assujettie à une demande. Et de souligner que Mbaye Touré, l’ancien bras droit de Khalifa Fall, arrêté et emprisonné en même temps que l’ancien maire de Dakar, dans cette même affaire, a bien introduit une demande de grâce, qui n’a jusque-là, pas eu une réponse favorable.
Par ailleurs, indique-t-on, du côté de la Présidence, les nombreuses déclarations d’associations ou de personnalités pour la libération de Khalifa Sall, ne seraient pas du goût du président Macky, qui n’aimerait pas vouloir donner l’impression de céder à la pression.
Mais puisque la grâce présidentielle peut se faire à tout moment, pas seulement à la veille des fêtes religieuses ou d’indépendance, peut-être que la libération de Khalifa Sall interviendra incessamment.