«Jusqu’au moment où nous parlons, plus de 280 écoles sont inondées, donc sous les eaux. Aujourd’hui, il y a des institutions scolaires qui continuent d’abriter des populations victimes des inondations», a-t-il martelé.
«Les autorités n’ont pas trouvé de solutions pour permettre à ces populations de libérer les locaux. Donc le problème demeure», persiste Amidou Bâ, qui a fustigé également le manque d’enseignants.
«Il y a un déficit criard d’enseignants, de tables-bancs, des abris provisoires qui sont devenus définitifs, en violation flagrant du principe d’équité entre les enfants du pays», regrette Amidou Bâ.
Il poursuit : «À cela s’ajoute les renchérissements du coût de la vie, les parents qui deviennent de plus en plus anxieux avec les frais scolaires trop chers».
«Les autorités n’ont pas trouvé de solutions pour permettre à ces populations de libérer les locaux. Donc le problème demeure», persiste Amidou Bâ, qui a fustigé également le manque d’enseignants.
«Il y a un déficit criard d’enseignants, de tables-bancs, des abris provisoires qui sont devenus définitifs, en violation flagrant du principe d’équité entre les enfants du pays», regrette Amidou Bâ.
Il poursuit : «À cela s’ajoute les renchérissements du coût de la vie, les parents qui deviennent de plus en plus anxieux avec les frais scolaires trop chers».