Aïssata Tall Sall parle de dépôt de bilan, au lieu de faire le bilan du régime socialiste, fait de fermetures et de privatisations d’entreprises sur fonds d’ajustements stucturels et de faillite de notre tissu agricole. Non ! Jusqu’ici oui ! Mais au-delà non ! Le parti socialiste doit rompre d’avec cette culture de démagogie qui veut faire croire que le Sénégal date de l’an 2000. Au contraire, Me Wade a trouvé un Etat à terre, puis l’a mis à genoux avant de le relever définitivement.
En disant, dans les ondes de Radio France internationale, que le Sénégal est à terre depuis dix ans, Me Aïssata Tall Sall, a-t-elle pensé au lourd passif du régime socialiste qu’elle prétend défenre. La dame soutient que le Sénégal va bientôt déposer le bilan, sans, ne serait-ce que par sincérité intellectuelle, fournir des chiffres qui justifient ses allégations fallacieuses, qu’on sache de quoi retourne tout ce charivari.
« L’électricité est un minimum de confort », a-t-elle souligné. Ce que le président Wade a su en « renationalisant » la Société nationale d’électricité que les socialistes avaient fini par brader à vil prix. Qui ne se souvient des innombrables délestages de la fin des années 90 auxquels le roi du Mbalakh avait consacré un morceau, à l’époque. Qui ne se souvient du bras de fer épique entre l’Etat, sous M. Abdou Diouf et le Sutelec de Mademba Sock.
Pas plus tard que dimanche, au cours d’une émission télivisée sur la Rts, les reporters ont montré les images de machines vétustes de la Sénélec qui datent du temps où Me Tall Sall n’était pas encore au lycée.
C’est triste qu’au Sénégal, certaines personnes font du calvaire des populations un fonds de commerce électoral. Que n’a.t-on entendu dire à propos des inondations, qui constituaient tout le programme de précampagne électorale de Benno Siggil Sénégal. Maintenant que le mal est à moitié résolu, sous la houlette du Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye, ils n’en parlent plus. Et dire que ces inondations font partie du bilan du Ps, qui a laissé des compatriotes habiter dans des zones non aedificandi, à défaut d’un plan urbanistique adéquat.
En réalité, le Ps cherche à prédisposer les Sénégalais à une vision tragique de leur avenir pour un retour fulgurant aux affaires. C’est pourquoi, comme unique solution aux délestages, il propose le départ de Me Wade.
Thiedo
En disant, dans les ondes de Radio France internationale, que le Sénégal est à terre depuis dix ans, Me Aïssata Tall Sall, a-t-elle pensé au lourd passif du régime socialiste qu’elle prétend défenre. La dame soutient que le Sénégal va bientôt déposer le bilan, sans, ne serait-ce que par sincérité intellectuelle, fournir des chiffres qui justifient ses allégations fallacieuses, qu’on sache de quoi retourne tout ce charivari.
« L’électricité est un minimum de confort », a-t-elle souligné. Ce que le président Wade a su en « renationalisant » la Société nationale d’électricité que les socialistes avaient fini par brader à vil prix. Qui ne se souvient des innombrables délestages de la fin des années 90 auxquels le roi du Mbalakh avait consacré un morceau, à l’époque. Qui ne se souvient du bras de fer épique entre l’Etat, sous M. Abdou Diouf et le Sutelec de Mademba Sock.
Pas plus tard que dimanche, au cours d’une émission télivisée sur la Rts, les reporters ont montré les images de machines vétustes de la Sénélec qui datent du temps où Me Tall Sall n’était pas encore au lycée.
C’est triste qu’au Sénégal, certaines personnes font du calvaire des populations un fonds de commerce électoral. Que n’a.t-on entendu dire à propos des inondations, qui constituaient tout le programme de précampagne électorale de Benno Siggil Sénégal. Maintenant que le mal est à moitié résolu, sous la houlette du Premier ministre Souleymane Ndéné Ndiaye, ils n’en parlent plus. Et dire que ces inondations font partie du bilan du Ps, qui a laissé des compatriotes habiter dans des zones non aedificandi, à défaut d’un plan urbanistique adéquat.
En réalité, le Ps cherche à prédisposer les Sénégalais à une vision tragique de leur avenir pour un retour fulgurant aux affaires. C’est pourquoi, comme unique solution aux délestages, il propose le départ de Me Wade.
Thiedo
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