« Au lieu de répondre favorablement aux appels pressants des forces vives de la nation, dont principalement les Chefs religieux de toutes les confessions et de toutes les confréries, pour la reprise immédiate des négociations de paix en Casamance, Wade ordonne une offensive militaire d’envergure contre les camps du Mouvement des forces démocratiques de Casamance (Mfdc) », renseigne une déclaration du Parti de l’indépendance et du travail (Pit) datée du 23 mars intitulée : « Se mobiliser pour l’arrêt de la guerre fratricide en Casamance ». Les camarades d’Amath Dansokho accusent Me Wade de « pousser l’outrecuidance jusqu’à taxer les « auteurs » de ces appels de « gens intéressés », sous entendant pécuniairement ! ». Et de poursuivre : « Il refuse donc de faire la différence entre les vrais patriotes et ceux qui, dans son entourage, font de ce conflit un « fonds de commerce » particulièrement juteux, mais foncièrement immonde ». Le Pit de soutenir alors que l’incapacité de Me Wade à faire « preuve de discernement » le disqualifie à jamais du « droit » de continuer à gérer les affaires de notre Nation.
Arrêter le carnage
Pour Amath Dansokho et ses camarades, « le peuple Sénégalais ne peut plus continuer à laisser Wade envoyer ses fils pour « aller tuer ou se faire tuer en Casamance » au moment où il le nargue quotidiennement en présentant son propre fils comme le meilleur de tous les enfants du Sénégal ».
Le PIT « déplore ce qui se passe en Casamance par la seule faute du Chef de l’Etat qui s’obstine à écarter les forces vives de la nation, celles de l’opposition notamment, de la recherche de la paix et de la sauvegarde de l’intégrité territoriale du Sénégal ». C’est pourquoi il urge selon lui, « d’ouvrir des perspectives d’un dialogue national pour le retour de la paix en Casamance. Ce processus impliquera nécessairement les pays limitrophes que sont la Gambie et la Guinée Bissau. ».
Notre pays, selon les camarades d’Amath Dansokho, « doit tourner définitivement le dos à la « situation de ni guerre, ni paix », qui est préjudiciable à l’unité nationale et au développement du pays ». Et pour l’atteinte de cet objectif, le PIT appelle tous ses militants et toutes ses militantes à s’investir plus et mieux
Le parti d’Amath Dansokho souligne que la « Casamance a trop souffert, le peuple sénégalais avec elle, de voir ses meilleurs fils mourir ou se blesser dans un conflit inutilement coûteux ».
Ce n’est pas une malédiction
Il est alors convaincu que ce « conflit n’est pas une malédiction divine, il perdure et s’aggrave du fait de son traitement irresponsable par WADE qui a fini de convaincre de son incapacité à dérouler une feuille de route de sortie de crise en Casamance. Le doute n’est plus permis à cet égard ». Le constat est que, « pour gérer le conflit, Wade fait du pilotage à vue et du tâtonnement avec des « Messieurs Casamance » qui ne sont pas investis de l’autorité, de l’étique et de la compétence que la mission exige » « Cette gestion solitaire et simpliste qui mise principalement sur la corruption a provoqué plus de morts, de mutilés et de familles déplacées et séparées », relève le Pit, avant d’ajouter : « Dans ces circonstances tragiques pour notre Nation, le PIT présente ses condoléances les plus attristées aux familles éplorées, il s’incline pieusement devant la mémoire de nos fils- militaires et/ou civils - tombés en Casamance. Il exige de Wade qu’il réagisse favorablement à l’appel des forces vives de la nation pour mobiliser tout le pays autour de cette situation très complexe »
Arrêter le carnage
Pour Amath Dansokho et ses camarades, « le peuple Sénégalais ne peut plus continuer à laisser Wade envoyer ses fils pour « aller tuer ou se faire tuer en Casamance » au moment où il le nargue quotidiennement en présentant son propre fils comme le meilleur de tous les enfants du Sénégal ».
Le PIT « déplore ce qui se passe en Casamance par la seule faute du Chef de l’Etat qui s’obstine à écarter les forces vives de la nation, celles de l’opposition notamment, de la recherche de la paix et de la sauvegarde de l’intégrité territoriale du Sénégal ». C’est pourquoi il urge selon lui, « d’ouvrir des perspectives d’un dialogue national pour le retour de la paix en Casamance. Ce processus impliquera nécessairement les pays limitrophes que sont la Gambie et la Guinée Bissau. ».
Notre pays, selon les camarades d’Amath Dansokho, « doit tourner définitivement le dos à la « situation de ni guerre, ni paix », qui est préjudiciable à l’unité nationale et au développement du pays ». Et pour l’atteinte de cet objectif, le PIT appelle tous ses militants et toutes ses militantes à s’investir plus et mieux
Le parti d’Amath Dansokho souligne que la « Casamance a trop souffert, le peuple sénégalais avec elle, de voir ses meilleurs fils mourir ou se blesser dans un conflit inutilement coûteux ».
Ce n’est pas une malédiction
Il est alors convaincu que ce « conflit n’est pas une malédiction divine, il perdure et s’aggrave du fait de son traitement irresponsable par WADE qui a fini de convaincre de son incapacité à dérouler une feuille de route de sortie de crise en Casamance. Le doute n’est plus permis à cet égard ». Le constat est que, « pour gérer le conflit, Wade fait du pilotage à vue et du tâtonnement avec des « Messieurs Casamance » qui ne sont pas investis de l’autorité, de l’étique et de la compétence que la mission exige » « Cette gestion solitaire et simpliste qui mise principalement sur la corruption a provoqué plus de morts, de mutilés et de familles déplacées et séparées », relève le Pit, avant d’ajouter : « Dans ces circonstances tragiques pour notre Nation, le PIT présente ses condoléances les plus attristées aux familles éplorées, il s’incline pieusement devant la mémoire de nos fils- militaires et/ou civils - tombés en Casamance. Il exige de Wade qu’il réagisse favorablement à l’appel des forces vives de la nation pour mobiliser tout le pays autour de cette situation très complexe »
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