Pour la répression de ce chef d’inculpation, le Tribunal a condamné la responsable libérale à payer à l’Etat du Sénégal une amende de 20 mille francs et la somme de 30 mille francs à la partie civile qui, pourtant, avait réclamé 50 millions de francs Cfa en guise de dommages et intérêts.
Elle devrait aussi payer les frais d’avocat. Dans l’ensemble, elle s’en sort évidemment bien.
Pourtant, le Parquet avait requis à l’endroit de Mme Ndiongue 6 mois avec sursis. Il faut noter aussi que toutes les parties étaient toutes à la barre. L’ex-sénatrice, en détention pour détournements présumés de deniers publics, était resplendissante dans son ensemble traditionnel de couleur blanche. Elle a été jugée pour menaces de mort, injures et voie de fait.
Des faits que lui reprochait le patron de la Compagnie générale de sécurité européenne (Csge) qui détient l’exclusivité de plusieurs produits phytosanitaires.
Il faut rappeler que l’incident s’est produit le 1er juillet 2013 dans les locaux de la Section de recherches de la gendarmerie de Colobane. C’était au cours d’une confrontation sur l’affaire des produits phytosanitaires du Plan Jaxaay. La responsable libérale, qui n’avait pas supporté les témoignages à charge de la partie civile, ne s’est pas privée de lui administrer une gifle et de l’abreuver d’injures. Aïda Ndiongue a été ainsi extraite de sa cellule de la Maison d’arrêt pour femmes de Liberté 6 pour venir écouter le délibéré.
L'As
Elle devrait aussi payer les frais d’avocat. Dans l’ensemble, elle s’en sort évidemment bien.
Pourtant, le Parquet avait requis à l’endroit de Mme Ndiongue 6 mois avec sursis. Il faut noter aussi que toutes les parties étaient toutes à la barre. L’ex-sénatrice, en détention pour détournements présumés de deniers publics, était resplendissante dans son ensemble traditionnel de couleur blanche. Elle a été jugée pour menaces de mort, injures et voie de fait.
Des faits que lui reprochait le patron de la Compagnie générale de sécurité européenne (Csge) qui détient l’exclusivité de plusieurs produits phytosanitaires.
Il faut rappeler que l’incident s’est produit le 1er juillet 2013 dans les locaux de la Section de recherches de la gendarmerie de Colobane. C’était au cours d’une confrontation sur l’affaire des produits phytosanitaires du Plan Jaxaay. La responsable libérale, qui n’avait pas supporté les témoignages à charge de la partie civile, ne s’est pas privée de lui administrer une gifle et de l’abreuver d’injures. Aïda Ndiongue a été ainsi extraite de sa cellule de la Maison d’arrêt pour femmes de Liberté 6 pour venir écouter le délibéré.
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