« On va dire : ‘oui, ils ne sont pas contents, danu ko ignané (ils sont jaloux)’, ceci cela. C’est le discours que l’autorité a voulu développer. Nous ne sommes pas là-bas, parce que nous avons vécu notre carrière, avec des Directeurs généraux de différents horizons. Lui, c’est un â… Parce qu’il veut nous amener ce débat-là parmi nous. Il ne doit pas le faire ? Et puis il expose dans la presse, il ne doit pas le faire. Bu dé jang rék (si on ne parle que de niveau d’études), il n’a qu’à venir ici, lui et moi. Général de je ne sais quoi (…), même à la gendarmerie, je suis meilleur que lui. Et il nous impose ce débat-là. ‘Oui, esprit de corps’. Nous qui avons vécu ici, quelqu’un vient de l’extérieur, qui appartient à un autre corps, pour nous parler d’esprit de corps. C’est son choix qui n’est pas bon. Ce n’est pas Niang qui n’est pas bon. Niang, il est Niang », dit le commissaire à un ou plusieurs de ses collaborateurs.
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