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Le président agite un 3éme mandat de 2 ans : Manœuvre pour rempiler et installer son fils ou doute sur sa santé ?

C’est son entourage proche qui distille la rumeur : s’il réussit à décrocher un troisième mandat à la tête du Sénégal, Abdoulaye Wade projette de ne l’exercer que pendant deux ans sur les sept mentionnés, par ses soins dans la Constitution. Une manœuvre pour ferrer l’électorat, qui risque de coûter au contribuable sénégalais et de désarçonner l’opposition. Le président Wade est-il plutôt contraint à opter pour une démission en cours de mandat, parce que doutant, désormais, de sa santé, mentale et intellectuelle ?


Rédigé par leral.net le Jeudi 27 Mai 2010 à 11:17 | | 5 commentaire(s)|

Le président agite un 3éme mandat de 2 ans : Manœuvre pour rempiler et installer son fils ou doute sur sa santé ?
Selon des sources proches de la présidence, le président Wade va tenter de convaincre les Sénégalais de lui accorder un troisième mandat, qui lui permettra de terminer les réalisations qu’il a entamées. Celles-ci nécessitent un délai qui dépassera l’an 2012. Dès leur fin, il va démissionner, après deux ans d’exercice d’un troisième mandat, pour arbitrer des élections « libres et démocratiques ». Son message va-t-il emporté l’adhésion de la majorité des Sénégalais et, surtout des chancelleries occidentales , qu’il craint le plus ? En tout cas, si l’information se confirme, elle signifie que le président Wade doute d’abord, plus que jamais de ses capacités intellectuelles et mentales. Car, il tient tellement au pouvoir qu’on le voit mal renoncer à un mandat que la loi l’autorise à exercer pendant sept ans, s’il gagne les élections. Ceci, d’autant que c’est lui qui avait fait modifié la Constitution pour la prolongation du mandat présidentiel. Il s’y ajoute que son goût pour le pouvoir est tel qu’il n’avait pas hésité à trahir la Coalition pour l’alternance, qui l’avait soutenu en 2000. Il lui avait promis de ne rester au pouvoir que pour un mandat de cinq ans, mais en désire, maintenant un troisième. Il y a, également, que le président Wade n’utilise la fin de ses réalisations que pour imposer aux Sénégalais son fils, Karim. Car, il l’a nommé ministre d’État et lui a confié les départements les plus stratégiques et au gains politiques certains, s’ils sont menés à bon port : la Coopération internationale, l’Aménagement du territoire, les Transports aériens et les Infrastructures.

Autrement si l’autoroute à péage, l’aéroport international Blaise Diagne et la compagnie de transports, Sénégal airlines, deviennent réalités, le président Wade aura tous les arguments pour se faire succéder par son fils. Il le nommera président du Sénat et fera sa campagne, soutenant que ses réalisations sont la preuve de ses compétences. Son coup passera encore, parce que l’opposition aura tout le mal du monde pour braver un candidat soutenu par le président après s’être saigné à l’occasion d’un scrutin, tenu deux ans auparavant. Une élection, c’est le versement d’une caution, qui sera de plus en plus élevée, l’entretien des militants et le décaissement de fonds de campagne. C’est dire que le président Wade prépare le coup de Jarnac, qui pourra écraser l’opposition actuelle, dans toutes ses composantes. Les 27 % de l’électorat dont le crédite le sondage réalisé par Afrobaromètre et qui poussent ses partisans à plaider pour une élection présidentielle à un seul tour, y est pour quelque chose. Il faut déblayer autour de sa concession, pour ne pas prendre le risque d’un incendie, dit-on chez nous. Mais son projet va saigner les Sénégalais pour qui sait que le coût d’une élection présidentielle se chiffre en milliards, surtout dans un pays où les candidats se ramassent à la pelle. Il rappelle celui de l’ancien président nigérien qui avait forcé la Constitution de son pays, pour rester, encore trois ans au pouvoir. Une ambition qui avait fini par l’emporter.

La Redaction xibar.net

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1.Posté par hamedin le 27/05/2010 14:15 | Alerter
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Merci Karim Meïssa Wade! Tu redonnes espoir à ton peuple. Que Dieu te bénisse, mon très cher compatriote !

WEDDI GIS BOKU SI !!!

http://www.lemessagersn.info/Avec-Dubai-le-port-de-Dakar-a-rattrape-30-ans-de-retard_a4218.html?print=1

«Avec Dubaï, le port de Dakar a rattrapé 30 ans de retard»
LE MINISTRE D’ETAT KARIM WADE


Dakar Port Word, qui est devenu depuis le 30 janvier 2009 le premier port de la sous-région, est aujourd’hui un motif de fierté pour l’économie nationale. Et hier, c’est en compagnie de son homologue Khoureïchi Thiam que le ministre d’Etat, Karim Wade, a effectué une visite au terminal portuaire de Dakar. En marge de cette visite, il s’est prêté aux questions de nos confrères. Nous en reproduisons un extrait.

Le Messager : Quel est l’intérêt de votre visite à Dakar Port Word ?

Karim Wade : Je vais commencer par féliciter le Directeur général du Port, pour ce que je vois ici. C’est extrêmement impressionnant. On peut dire que le port de Dakar a rattrapé 30 ans de retard et, aujourd’hui, il fait partie des ports les plus modernes de l’Afrique de l’ouest, entre Tanger et Cap Town. Nous avons même dépassé le port d’Abidjan, en investissements. Maintenant, avec la nouvelle configuration du port de Dakar, le Sénégal va pouvoir jouer pleinement son rôle dans la globalisation, assurer une parfaite connectivité entre le port et le reste des régions du monde. Il va avoir une parfaite connectivité avec les principaux centres du monde et on peut dire que le port de Dakar est un des principaux ports d’Afrique. Je voudrais également signaler que la crise mondiale qui a affecté Dubaï n’a pas eu d’impact sur les investissements pratiqués par Dubaï Port Word, puisqu’aujourd’hui, Dubaï a réalisé un investissement de près de 70 milliards de francs Cfa. Ce qui dépasse de 30 milliards la phase initiale du projet. Nous sommes venus avec mon collègue, le ministre Khouraïchi Thiam, nous assurer que le nouveau terminal à conteneurs de Dakar sera opérationnel très prochainement. Je voudrais dire que cet investissement est extrêmement important ; car il ne s’agit pas seulement du port du Sénégal, il peut servir également pour le Mali, le Burkina. C’est un élément extrêmement important dans le projet de corridor que nous sommes en train de mettre en place, à travers un port sec à Kaolack, à Tambacounda, à la frontière malienne et à Bamako. C’est donc là le premier élément d’un outil d’intégration, qu’est le corridor que nous sommes en train de mettre en place dans le cadre de l’intégration. Je voudrais souligner la vision du chef de l’Etat, dans sa politique d’intégration qu’il partage avec ses pairs du Mali et du Burkina…

Est-ce que Dubaï respecte ses engagements avec l’Etat du Sénégal ?

Assurément ! On peut même constater que Dubaï est allé au-delà de ses engagements et pas seulement en termes d’investissements : aujourd’hui, leur investissement est de 70 milliards Cfa, alors que leur engagement initial était de 40 milliards. Donc, ils ont dépassé leur engagement de 35 %. En plus, ils ont repris l’ensemble du personnel qui travaillait sur le terminal à conteneurs et ont même doublé les effectifs. Et je suis très heureux de savoir qu’au niveau de la formation, les manutentionnaires sénégalais sont à un niveau d’expertise mondialement reconnu. Et certains d’entre eux, actuellement à Dubaï, forment des dirigeants des plus grands ports mondiaux, que ce soit à Dubaï, Djibouti et à Londres. Il faut saluer cette expertise sénégalaise et saluer la vision du chef de l’Etat, qui n’a cessé de diversifier nos relations économiques. C’est là le résultat d’un partenariat concret avec un des plus grands opérateurs mondial portuaire et, aujourd’hui, ce que nous attendons, c’est encore plus de trafic, afin que le Sénégal puisse jouer son rôle de hub. Le ministre des Transports maritimes et le Dg du Port m’on signalé que ces investissements ont permis de créer une libéralisation dans le domaine des transports. C’est à dire qu’un Sénégalais qui souhaite se lancer dans le transport routier, s’il respecte les normes de sécurité, d’assurance, il peut venir charger. Alors qu’à l’époque, cette activité était sous monopole. Cela permet de réduire les coûts de manutention et d’avoir un impact sur le pouvoir d’achat des Sénégalais. Maintenant, nous allons lancer les constructions d’autres ports secs, en compagnie de Dubaï et d’autres partenaires. Pour pouvoir exporter et importer nos marchandises à moindre coût, de façon à ce que le pouvoir d’achat des Sénégalais soit allégé.

Quel est l’impact d’un tel investissement ?

Avant, la vitesse de déchargement était de 17 conteneurs par heure. Mais avec ces investissements, on est à 50 conteneurs par heure. Il y a donc plus d’efficacité en termes de rotation, de coûts. Non seulement nous répondons à l’ensemble des normes iso ; mais en plus, les bateaux attendent en moyenne 15 minutes, alors qu’ils restaient plusieurs heures - voire plusieurs jours - à l’époque. Donc, on peut se féliciter de voir qu’en si peu de temps, la configuration et la performance du port ont changé. Aujourd’hui, Le Port de Dakar est un modèle.

Le Dg, Bara Sady, me disait que beaucoup de responsables de ports de la sous- région voulaient s’inspirer de ce partenariat public-privé. Il y a quelques semaines, le président de la République inaugurait la gare maritime. Tout cela va nous permettre de changer la configuration du port de notre pays qui, aujourd’hui, va devenir extrêmement compétitif en termes de manutention et de logistiques.

Rassemblés par Moustapha SYLLA

Jeudi 27 Mai 2010
© lemessagersn. info

2.Posté par martaba le 27/05/2010 15:03 | Alerter
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hamedin avec tout le respect je pense que tu n'es pas au SENEGAL . KARIM est vomi par le peuple senegalais

3.Posté par MOURTADA le 27/05/2010 15:19 | Alerter
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PURE DIVERSION. IL NE SERA MEME PAS CANDIDAT EN 2012. REGARDEZ COMMENT IL MARCHE ET VOUS SAUREZ QUE WADE EST MAINTENU PAR DES DROGUES ! LORS DE LA DERNIERE CEREMONIE DEVANT SA STATUE, C'EST SON NEVEU LAMINE FALL QUI L'AIDAIT A MONTER LES ESCALIERS !

PURE DIVERSION PARCE QU'IL VEUT TOUT JUSTE FAIRE AVALER LES FRAUDES QUI VONT FAIRE PASSER SON FILS EN 2012.

L'OPOOSITION DOIT ARRETER DE TERGIVERSER ET VEILLER AU GRAIN. SINON OU KARIM OU IDY VONT LE REMPLACER D'ICI 1 AN.

4.Posté par MOURTADA le 27/05/2010 15:24 | Alerter
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Le Messager de la famille WADE,

On vous emmerde ! Laissez les sénégalais ruminer leur colère, sans les narguer. Si non, le réveil sera brutal pour le pouvoir et ses commensaux !!!! Laissez-nous tranquilles et arrêtez vos provocations. Jamais Karim ne dirigera ce pays. Il n'en a ni le profil ni les compétences. Il passe tout son temps à insulter le PS et à encenser ses collaborateurs. Mais nous auditerons le Port aussi quand ils seront partis. Et ce jour-là, les voleurs (Bara Sady, directeur) et Djibril Diallo (le PCA) vomiront tout ce qu'ils ont bouffé.

5.Posté par le solitaire le 27/05/2010 15:53 | Alerter
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bara est le cousin de karim. toute la famille est au pouvoir. en 2012, tous en prison

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