Le vol Air France AF447 qui reliait Rio de Janeiro au Brésil à Paris a disparu des écrans radars avec 216 passagers et 12 membres d’équipages à son bord. Information donnée par la compagnie aérienne et Aéroports de Paris.
Aux dernières nouvelles, il a été localisé sur les côtes brésiliennes selon France 2 dans son édition de la soirée.
Selon les autorités brésiliennes ; il y a deux africains parmi les passagers portés disparus : un gambien et un Sud africain.
Le Président français Nicolas Sarkozy, déclare sur France 24 :"Il y a des chances infimes de retrouver des survivants"
Le Bréguet Atlantique, un avion de l’Armée française, basé à Dakar spécialisé participe aux recherches de l’Airbus A330.
Christophe Trazick, porte-parole de l’état-major de l’Armée française joint au téléphone par la RFM, radio privée sénégalaise, explique : « le Bréguet Atlantique est l’avion français, qui était le plus proche de la zone des recherches, de la zone de disparition d’Air France. C’est un avion spécialisé dans les recherches en mer, de sous-marins, de bateaux, mais également de sauvetage. En puis la zone de disparition de l’avion, on ne sait pas si c’est dans eaux sénégalaises ou brésiliennes"
Le porte-parole de l’Etat-major de l’Armée française en France ne sait pas s’il y avait des sénégalais à bord. "Je ne sais pas si des sénégalais étaient à bord. Je sais qu’il y a des français évidemment et j’espère que des sénégalais n’y étaient pas" déclare-t-il sur la RFM.
Selon une source digne de foi, et membre du bureau compétent pour gérer le radar (adsb) d’équipe secondaire, l’avion n’a pas été détecté par le radar à Dakar. "Il ne peut pas être détecté par le radar à cette distance du Sénégal. Quand l’avion quitte Rio de Janeiro pour Paris, il entre dans une zone de souveraineté internationale appelée Fir océanique. Cette fir est un sous la responsabilité du centre de Dakar. Cela est visible à partir du plan de vol que l’avion dépose obligatoirement avant de décoller, C’est pourquoi les gens parlent. On peut savoir le nombre de passagers mais seule Air France est habilitée à donner la nationalité des passagers".
Selon notre source :" l’avion n’est pas perdu dans l’espace géré par l’Asecna au niveau de Dakar, il n’a pas eu de contacts avec Dakar"
Selon notre interlocteur :"la portée du radar est de 400km, donc l’avion ne pourrait être vu par le radar de Dakar, il a disparu à des milliers de kilomètres du Sénégal"
L’Airbus A330-200qui a quitté Rio à 16h00 GMT et devait arriver au terminal 2E de l’aéroport Paris-Charles de Gaulle à 09h15 GMT a été perdu par les radars à 06H00 GMT alors qu’il survolait l’Atlantique.
L’hypothèse la plus vraisemblable, selon Air France, est que l’avion daurait été foudroyé en plein vol. Plus tôt, la compagnie aérienne évoquait une panne de circuit électrique détectée à l’heure de sa disparition des écrans de contrôle.
En donnant la nouvelle, Air France a fait part de son regret à travers la voix de son porte-parole qui annonce que les proches des passagers concernés seraient reçus dans un endroit spécialement réservé à l’aérogare Charles de Gaulle 2. Une source aéroportuaire a déclaré à l’AFP qu’il n’y avait plus "aucun espoir".
http://www.sen24heures.com/ sources : AFP France 24
Aux dernières nouvelles, il a été localisé sur les côtes brésiliennes selon France 2 dans son édition de la soirée.
Selon les autorités brésiliennes ; il y a deux africains parmi les passagers portés disparus : un gambien et un Sud africain.
Le Président français Nicolas Sarkozy, déclare sur France 24 :"Il y a des chances infimes de retrouver des survivants"
Le Bréguet Atlantique, un avion de l’Armée française, basé à Dakar spécialisé participe aux recherches de l’Airbus A330.
Christophe Trazick, porte-parole de l’état-major de l’Armée française joint au téléphone par la RFM, radio privée sénégalaise, explique : « le Bréguet Atlantique est l’avion français, qui était le plus proche de la zone des recherches, de la zone de disparition d’Air France. C’est un avion spécialisé dans les recherches en mer, de sous-marins, de bateaux, mais également de sauvetage. En puis la zone de disparition de l’avion, on ne sait pas si c’est dans eaux sénégalaises ou brésiliennes"
Le porte-parole de l’Etat-major de l’Armée française en France ne sait pas s’il y avait des sénégalais à bord. "Je ne sais pas si des sénégalais étaient à bord. Je sais qu’il y a des français évidemment et j’espère que des sénégalais n’y étaient pas" déclare-t-il sur la RFM.
Selon une source digne de foi, et membre du bureau compétent pour gérer le radar (adsb) d’équipe secondaire, l’avion n’a pas été détecté par le radar à Dakar. "Il ne peut pas être détecté par le radar à cette distance du Sénégal. Quand l’avion quitte Rio de Janeiro pour Paris, il entre dans une zone de souveraineté internationale appelée Fir océanique. Cette fir est un sous la responsabilité du centre de Dakar. Cela est visible à partir du plan de vol que l’avion dépose obligatoirement avant de décoller, C’est pourquoi les gens parlent. On peut savoir le nombre de passagers mais seule Air France est habilitée à donner la nationalité des passagers".
Selon notre source :" l’avion n’est pas perdu dans l’espace géré par l’Asecna au niveau de Dakar, il n’a pas eu de contacts avec Dakar"
Selon notre interlocteur :"la portée du radar est de 400km, donc l’avion ne pourrait être vu par le radar de Dakar, il a disparu à des milliers de kilomètres du Sénégal"
L’Airbus A330-200qui a quitté Rio à 16h00 GMT et devait arriver au terminal 2E de l’aéroport Paris-Charles de Gaulle à 09h15 GMT a été perdu par les radars à 06H00 GMT alors qu’il survolait l’Atlantique.
L’hypothèse la plus vraisemblable, selon Air France, est que l’avion daurait été foudroyé en plein vol. Plus tôt, la compagnie aérienne évoquait une panne de circuit électrique détectée à l’heure de sa disparition des écrans de contrôle.
En donnant la nouvelle, Air France a fait part de son regret à travers la voix de son porte-parole qui annonce que les proches des passagers concernés seraient reçus dans un endroit spécialement réservé à l’aérogare Charles de Gaulle 2. Une source aéroportuaire a déclaré à l’AFP qu’il n’y avait plus "aucun espoir".
http://www.sen24heures.com/ sources : AFP France 24
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