En initiant cette plainte inattendue contre les ex de And Jef, Seck lance deux opérations de communications. Primo : « démontrer que ses adversaires sont des bonimenteurs », comme il l’a dit lui même. Deuxio : contenir les attaques virulentes contre sa personne. Ce procès inédit sur la place politique de Dakar risque de créer une sorte de jurisprudence. Les hommes politiques peuvent-ils être poursuivis pour des propos tenus dans les médias, sans impliquer ces journaux et radios qui diffusent leurs paroles diffamatoires et autres injures publiques ? Si Seck venait à gagner son procès, les autres leaders très souvent attaqués par leurs adversaires risquent de suivre la brèche.
politicosn.com
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