« Si Le gouvernement persiste dans son projet de découpage administratif des collectivités locales gagnées par Bss pour y installer des délégations spéciales et son refus de délivrer des cartes nationales d’identité aux jeunes leur permettant de voter en 2012, j’engagerai les militantes et les militants de l’Apr à occuper la rue pour exiger leur droit ... », déclare Macky Sall en marge du Conseil national des enseignants de l’Apr, samedi.
Le leader de l’Apr semble d’ailleurs convaincu que ce qui se passe ailleurs peut avoir lieu au Sénégal si la Présidentielle de 2012 est mal organisée. « Tout le monde doit manifester pour obtenir la carte nationale d’identité sinon ce qui se passe ailleurs peut avoir lieu au Sénégal puisqu’on ne pourra pas accepter des résultats non fiables à l’issue de la Présidentielle de 2012 », avertit-il.
Selon lui, le problème actuel du Sénégal est la fourniture correcte de l’électricité et l’accès de tous à l’eau potable. « Mais comment les Sénégalais peuvent espérer avec ces nombreux délestages ? », s’interroge-t-il avant de se demander où notre pays peut encore trouver 600 milliards pour le plan Takkal.
Auparavant, c’est Youssou Touré, secrétaire général du réseau des enseignants de l’Apr, qui a diagnostiqué la situation de l’école sénégalaise. A l’en croire, l’école sénégalaise est « malade ». « Le niveau des enseignants est bas, leur formation est mal adaptée et le mode de recrutement est opaque », soutient-il. Et de poursuivre : « Et dans tout cela, on se targue d’avoir alloué 40% du budget national à l’éducation. C’est un mensonge d’Etat », martèle Youssou Touré. C’est pourquoi, il invite le chef de l’Etat, Abdoulaye Wade, à tenir les assises de l’éducation, en vue d’apporter la lumière à certaines zones d’ombre et de corriger les tares du système éducatif.
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Le leader de l’Apr semble d’ailleurs convaincu que ce qui se passe ailleurs peut avoir lieu au Sénégal si la Présidentielle de 2012 est mal organisée. « Tout le monde doit manifester pour obtenir la carte nationale d’identité sinon ce qui se passe ailleurs peut avoir lieu au Sénégal puisqu’on ne pourra pas accepter des résultats non fiables à l’issue de la Présidentielle de 2012 », avertit-il.
Selon lui, le problème actuel du Sénégal est la fourniture correcte de l’électricité et l’accès de tous à l’eau potable. « Mais comment les Sénégalais peuvent espérer avec ces nombreux délestages ? », s’interroge-t-il avant de se demander où notre pays peut encore trouver 600 milliards pour le plan Takkal.
Auparavant, c’est Youssou Touré, secrétaire général du réseau des enseignants de l’Apr, qui a diagnostiqué la situation de l’école sénégalaise. A l’en croire, l’école sénégalaise est « malade ». « Le niveau des enseignants est bas, leur formation est mal adaptée et le mode de recrutement est opaque », soutient-il. Et de poursuivre : « Et dans tout cela, on se targue d’avoir alloué 40% du budget national à l’éducation. C’est un mensonge d’Etat », martèle Youssou Touré. C’est pourquoi, il invite le chef de l’Etat, Abdoulaye Wade, à tenir les assises de l’éducation, en vue d’apporter la lumière à certaines zones d’ombre et de corriger les tares du système éducatif.
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