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Macky Sall : « Si Wade était un médicament, il serait périmé, nous n’attendons que le 26 février pour nous en débarrasser »

LERAL.NET Le leader de l’Apr continue sa campagne. Il était à Bakel hier. « Bakel est meurtri et défiguré par des ravins et une absence chronique d’infrastructures routiers.


Rédigé par leral.net le Mardi 14 Février 2012 à 11:18 | | 2 commentaire(s)|

Macky Sall : « Si Wade était un médicament, il serait périmé, nous n’attendons que le 26 février pour nous en débarrasser »
Un département abandonné à lui-même » a déclaré Macky Sall qui promet de redonner à la localité son lustre d’antan, une fois qu’il sera à la tête du pays. Mais comme à son habitude, il a accordé une partie de son discours au président de la république. Cette fois c’est sous une forme de comparaison. « Si Wade était un médicament, il serait périmé, nous n’attendons que le 26 février pour nous en débarrasser. » a-t-il déclaré.



1.Posté par realone le 14/02/2012 15:09 | Alerter
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SENEGALAISES ....SENEGALAIS.....
VOUS SEULS, SEREZ LES JUGES LE 26 FEVRIER 2012.

Moustapha Niasse a ainsi soutenu qu’agir dans le cadre du M23 leur permet de « mobiliser et de fédérer des énergies contre la candidature d’Abdoulaye Wade ». Mais aussi, telle une médaille, cette formule a son revers. Ce qui lui fait dire, selon Direct Info que : « Le peuple ne peut pas comprendre que la M23 consacre tout son temps à combattre la candidature de Wade comme si les candidats n’ont pas de programme ». C’est pour ne pas entretenir le flou dans l’esprit du peuple que « nous avons trouvé un compromis pour laisser chaque candidat mener individuellement sa campagne après les tournées avec le M23 qui ne s’organisent quand elles sont vraiment nécessaires », conclut-il.

Macky SALL, ne cesse d'avoir raison sur ses autres candidats regroupés au sein de la M23. Macky est le seul candidat constant dans sa démarche depuis le début de la campagne électorale, les autres candidats l'ont pris pour cibles alors que l'adversaire commun c'est WADE.
Aujourd'hui le temps lui a donné raison dans sa démarche de battre campagne partout pour dérouler son programme et de dénoncer la candidature

2.Posté par will le 14/02/2012 15:10 | Alerter
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Une scène ubuesque, le président perd la tête : Wade arrache le micro au leader de « Vélingara souffre » lui demande de quitter la tribune, interrompt son meeting et s’envole pour Médina Gounass

Le candidat des Forces alliées 2012 (FAL 2012), Abdoulaye Wade, a interrompu le discours de Lassana Soumboundou, leader de ‘’Vélingara souffre’’, après l’avoir invité à prendre la parole, dimanche, lors du meeting organisé par la coalition qui soutient sa candidature.
Ayant remarqué que beaucoup parmi les personnes qui assistaient au meeting arboraient la couleur rouge, le président Wade a demandé aux organisateurs de la manifestation d’aller chercher le dirigeant du mouvement.
Après une discussion de quelques minutes avec le leader de ‘’Vélingara souffre’’, le candidat des FAL retire le microphone des mains du maire de Vélingara qu’il remet au jeune.
Suivi des yeux comme un héros, ce dernier martèle aussitôt : ‘’Il n’y a pas à calculer et à chercher loin : deux plus deux font quatre. Et devant tout le monde, je dénonce (le fait] que le Gouvernement actuel n’a rien fait pour Vélingara. Les enfants, les jeunes et les femmes sont les principales victimes du mépris du gouvernement de l’alternance (…).’’
Mais le jeune a-t-il à peine commencé son discours que le président Wade, visiblement choqué, se lève de son siège pour lui retirer le micro et lui demander de descendre vite de la tribune.
D’ailleurs, le candidat des FAL a interrompu le meeting juste après deux autres allocutions de responsables qui ont abondé dans le même sens que Lassana Soumboundou.
Puis, il s’est envolé pour Médina Gounass, cité religieuse située à 60 km de la commune de Vélingara dont il rencontrera les guides religieux.
L’étape de Vélinga aura en tout cas été marquée par la démonstration des jeunes du mouvement ‘’Y en a marre’’. Lesquels ont tenu leurs promesses de chauffer la rue pour ‘’montrer’’ au président sortant Abdoulaye Wade que ‘’le gouvernement de l’alternance n’a rien fait en terme de réalisations’’.
Ainsi, ils n’ont pas tardé à se signaler dès qu’ils ont entendu le bruit de deux hélicoptères qui survolaient la ville de Vélingara.
Des slogans du genre ‘’Nous lui demandons de retirer sa candidature’’, ou encore ‘’il a fini’’ ont aussitôt fusé au terrain Boop, où les libéraux s’étaient fortement mobilisés.
Des cris qui ont poussé les jeunes du Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir) à réagir. ‘’C’est une provocation. S’ils veulent manifester, ils n’ont qu’à attendre l’arrivée de leurs leaders qui n’ont aucun projet et programme à présenter aux populations du Sénégal’’, rétorque un jeune libéral.
Le face-à-face a duré des minutes avant que les deux groupes n’aperçoivent le cortège de Wade s’ébranler en direction du lieu abritant le meeting.
Lassana Soumboundou, dirigeant du ‘’Vélingara souffre’’, a alors fondu en larmes devant la presse. Des larmes que ses camarades ont essuyées avec des foulards et des brassards rouges.
titre: xalimasn.com

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