C’est en présence de beaucoup de membres du Directoire de l’APR, dont le coordonnateur national, Alioune Badara Cissé, le directeur des structures, Mbaye Ndiaye, Mahmout Saleh entre autres, que Macky Sall a reçu les taximen, conduits par leur responsable, Ibra Ndiaye. Ce dernier, dans son propos introductif, a magnifié la disponibilité du premier des « Républicains » qui, venu fraichement d’un voyage du Niger, n’a même pas eu le temps d’aller à son domicile. Cette marque de considération est, de l’avis du responsable des taximen, « une preuve de l’intérêt que Macky Sall accorde à ces pères de familles » avant d’ajouter que « les taximen sont aujourd’hui tous motivés derrières vous (Macky Sall). Ibra Ndiaye n’a pas manqué de soulever les nombreuses difficultés que rencontrent ses collègues. Difficultés qui tournent autour du coût élevé des véhicules, des tracasseries routières mais aussi la cherté du carburant.
Dans ses réponses à ces nombreuses préoccupations, le Président de l’Alliance pour la République a insisté sur la nécessité de promouvoir ce secteur par une politique cohérente en matière d’infrastructures. Il a regretté les centaines de milliards investis dans la réalisation de certaines routes qui auraient pu aider à la construction de pistes de production nécessaires pour un meilleur rendement des produits cultivés dans les zones rurales. Il citera entre autres pistes, Méckhé-Fass Boye, Saint-Louis-Richard Toll etc.
Macky Sall de promettre ensuite une forte réduction de la fiscalité sur les véhicules de transport importés. Mais la promesse forte de cette rencontre aura été l’engagement pris par le Président de l’APR de lever la mesure interdisant l’importation de véhicules de plus de 5 ans. Macky Sall trouve insensée l’absence d’une évaluation exhaustive de cette mesure prise par le gouvernement et qui a vraisemblablement montré ses limites, d’où la nécessité de la revoir.
Passé ce point, Macky Sall est largement revenu sur ce qu’il a appelé la « tolérance zéro ». Le leader de l’APR est convaincu que certains sénégalais et particulièrement les chauffeurs n’ont pas suffisamment compris cette idée. Pour lui, il n’y a aucun ciblage dans son application. Il a rappelé que c’est une politique qui vise à combattre le désordre au Sénégal. De l’intransigeance sur la gestion des deniers publics au combat contre certains comportements répréhensibles, en passant par la lutte contre la corruption et l’impunité. Et Macky Sall de donner comme exemples les nombreuses tracasseries sur les routes, avec un racket permanent sur les chauffeurs. Le président de l’Alliance pour la République est aussi revenu sur les difficultés sur la Transgambienne. Pour lui, la continuité territoriale doit être effective, d’où l’intérêt pour tout gouvernement de l’ériger au rang de priorité. Il a rappelé les efforts qu’il avait déployés à l’époque où il était chef du gouvernement pour solutionner ce problème. Avant de conclure, il a soulevé la nécessité de réfléchir sur un moyen d’instaurer l’assurance maladie, pour permettre aux chauffeurs en général de bénéficier d’une couverture sanitaire en cas de maladie.
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Dans ses réponses à ces nombreuses préoccupations, le Président de l’Alliance pour la République a insisté sur la nécessité de promouvoir ce secteur par une politique cohérente en matière d’infrastructures. Il a regretté les centaines de milliards investis dans la réalisation de certaines routes qui auraient pu aider à la construction de pistes de production nécessaires pour un meilleur rendement des produits cultivés dans les zones rurales. Il citera entre autres pistes, Méckhé-Fass Boye, Saint-Louis-Richard Toll etc.
Macky Sall de promettre ensuite une forte réduction de la fiscalité sur les véhicules de transport importés. Mais la promesse forte de cette rencontre aura été l’engagement pris par le Président de l’APR de lever la mesure interdisant l’importation de véhicules de plus de 5 ans. Macky Sall trouve insensée l’absence d’une évaluation exhaustive de cette mesure prise par le gouvernement et qui a vraisemblablement montré ses limites, d’où la nécessité de la revoir.
Passé ce point, Macky Sall est largement revenu sur ce qu’il a appelé la « tolérance zéro ». Le leader de l’APR est convaincu que certains sénégalais et particulièrement les chauffeurs n’ont pas suffisamment compris cette idée. Pour lui, il n’y a aucun ciblage dans son application. Il a rappelé que c’est une politique qui vise à combattre le désordre au Sénégal. De l’intransigeance sur la gestion des deniers publics au combat contre certains comportements répréhensibles, en passant par la lutte contre la corruption et l’impunité. Et Macky Sall de donner comme exemples les nombreuses tracasseries sur les routes, avec un racket permanent sur les chauffeurs. Le président de l’Alliance pour la République est aussi revenu sur les difficultés sur la Transgambienne. Pour lui, la continuité territoriale doit être effective, d’où l’intérêt pour tout gouvernement de l’ériger au rang de priorité. Il a rappelé les efforts qu’il avait déployés à l’époque où il était chef du gouvernement pour solutionner ce problème. Avant de conclure, il a soulevé la nécessité de réfléchir sur un moyen d’instaurer l’assurance maladie, pour permettre aux chauffeurs en général de bénéficier d’une couverture sanitaire en cas de maladie.
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