« Je pense que ce n’est pas une question nouvelle. Ça montre simplement qu’il y a un pillage de nos ressources confiées à une seule personne, qui en fait ce qu’il veut, sans rendre compte », a, d’abord, souligné Madièye Mbodj. Selon lui, le Sénégal doit arriver « à moraliser » la vie politique, en assurant une gestion transparente.
« Nous avions cette expérience avec le pouvoir de Macky Sall ; nous avons refusé de prendre cet argent parce que nous estimions qu’il ne nous appartient pas. Pour nous, il fallait mettre en place une forme de financement public sur la base d’une loi. C’est ça qui nous permet d’éviter ces dérives-là. Nous avons besoin des ressources pour le développement de ce pays, notamment au niveau de l’éducation, de l’agriculture et de l’emploi… », expliqué, M. Mbodj, ce lundi sur sud Fm.
Selon lui, il urge aujourd’hui de poser le débat de la moralisation de la vie politique et surtout l’encadrement formel et officiel des financements des partis.
« Nous avions cette expérience avec le pouvoir de Macky Sall ; nous avons refusé de prendre cet argent parce que nous estimions qu’il ne nous appartient pas. Pour nous, il fallait mettre en place une forme de financement public sur la base d’une loi. C’est ça qui nous permet d’éviter ces dérives-là. Nous avons besoin des ressources pour le développement de ce pays, notamment au niveau de l’éducation, de l’agriculture et de l’emploi… », expliqué, M. Mbodj, ce lundi sur sud Fm.
Selon lui, il urge aujourd’hui de poser le débat de la moralisation de la vie politique et surtout l’encadrement formel et officiel des financements des partis.