Peut être la goutte d’eau qui a fait déborder le vase, car, immédiatement, ces dernières sont montées au créneau, comme si elles n’attendaient que cela.
Il y a déjà une dizaine de jours, Marie Thérèse Diédhiou avait fait une sortie musclée contre le maire de Thiès, Idrissa Seck, et Abdou Fall, vice-président à l’Assemblée nationale du Sénégal. Ce qu’elle leur reprochait ? Au premier, elle avait fait grief d’un absenteismerévolu qui avait abouti à avoir élu une sorte de Fantomas, à la place d’un maire, et au deuxième, de s’être tellement rangé dérrière le premier, qu’il est arrivé à effacer sa propre identité
Mais ces attaques ne constituaient que l’onde de surface. La lame de fond devait venir par la suite, quand elle a renchéri : « On se rend compte qu’àThiès, nous n’avons pas de maire. Moi-même, je me plains de cette absence, car je suis dans la ville, mais je ne rencontre aucun politicien qui prend en charge les préoccupations des populations », a dit la directrice de l’Adpme. Marie Thérèse Diédhiou s’en est également pris à Abdou Fall à qu’elle reproche de s’être rangé derrière Idrissa Seck. Aussi laisse-t-il entendre : « Abdou Fall a démontré qu’il a renoncé à exercer un quelconque leadership à Thiès. Mais, moi je suis là et ce sont les populations, elles-mêmes, qui m’ont choisie pour porter leurs dossiers au chef de l’Etat. »
Suffisant pour que les inconditionnels de ces derniers cherchent sa peau, depuis ? En tout cas, les femmes libérales de la Capitale du Rail (proches de l’ex ReWmi), ont sonné l’alerte. Pour elles, Marie Thérèse Diédhiou fait de l’activisme. Elle cherche juste à prouver qu’ell existe et essayede se rappeler au bon souvenir des sénégalais et de Gorgui. Mais en s’attaquant à Idrissa Seck, continuent-elles, la directrice d’agence fait preuve d’ingratitude, puisquec’est grâce à l’ancien Premier Ministre, qu’elle occupe aujourd’hui le fauteuil de maire adjoint. Enfin, pour rester sur le chapître des investives, la libérale pro Idy de Thiès, disent l’attendre au tournant, tout en l’invitant à s’expliquer sur « les dépenses faramineuses » de l’agence qu’elle dirige.Par ce que, selon elles, la directrice de l’Adpme croit leurrer le président Abdoulaye Wade avec les formations qu’elle dit initier pour les femmes.
Voilà donc pour ce qui est de la réaction à chaud des partisanes de Idy. Et nous voilà sans doute repartis pour d’autres joutes qui auraont une influence certaine sur l’échéance de 2012. Mais qu’en pensent les populations au nom desquelles, on parle ? C’est un autre débat. Tout comme le fait que certaines d’entre elles déplorent quand même dene pouvoir mettre la main sur leur maire, chaque fois qu’elles ont besoin de lui.
rewmi
Il y a déjà une dizaine de jours, Marie Thérèse Diédhiou avait fait une sortie musclée contre le maire de Thiès, Idrissa Seck, et Abdou Fall, vice-président à l’Assemblée nationale du Sénégal. Ce qu’elle leur reprochait ? Au premier, elle avait fait grief d’un absenteismerévolu qui avait abouti à avoir élu une sorte de Fantomas, à la place d’un maire, et au deuxième, de s’être tellement rangé dérrière le premier, qu’il est arrivé à effacer sa propre identité
Mais ces attaques ne constituaient que l’onde de surface. La lame de fond devait venir par la suite, quand elle a renchéri : « On se rend compte qu’àThiès, nous n’avons pas de maire. Moi-même, je me plains de cette absence, car je suis dans la ville, mais je ne rencontre aucun politicien qui prend en charge les préoccupations des populations », a dit la directrice de l’Adpme. Marie Thérèse Diédhiou s’en est également pris à Abdou Fall à qu’elle reproche de s’être rangé derrière Idrissa Seck. Aussi laisse-t-il entendre : « Abdou Fall a démontré qu’il a renoncé à exercer un quelconque leadership à Thiès. Mais, moi je suis là et ce sont les populations, elles-mêmes, qui m’ont choisie pour porter leurs dossiers au chef de l’Etat. »
Suffisant pour que les inconditionnels de ces derniers cherchent sa peau, depuis ? En tout cas, les femmes libérales de la Capitale du Rail (proches de l’ex ReWmi), ont sonné l’alerte. Pour elles, Marie Thérèse Diédhiou fait de l’activisme. Elle cherche juste à prouver qu’ell existe et essayede se rappeler au bon souvenir des sénégalais et de Gorgui. Mais en s’attaquant à Idrissa Seck, continuent-elles, la directrice d’agence fait preuve d’ingratitude, puisquec’est grâce à l’ancien Premier Ministre, qu’elle occupe aujourd’hui le fauteuil de maire adjoint. Enfin, pour rester sur le chapître des investives, la libérale pro Idy de Thiès, disent l’attendre au tournant, tout en l’invitant à s’expliquer sur « les dépenses faramineuses » de l’agence qu’elle dirige.Par ce que, selon elles, la directrice de l’Adpme croit leurrer le président Abdoulaye Wade avec les formations qu’elle dit initier pour les femmes.
Voilà donc pour ce qui est de la réaction à chaud des partisanes de Idy. Et nous voilà sans doute repartis pour d’autres joutes qui auraont une influence certaine sur l’échéance de 2012. Mais qu’en pensent les populations au nom desquelles, on parle ? C’est un autre débat. Tout comme le fait que certaines d’entre elles déplorent quand même dene pouvoir mettre la main sur leur maire, chaque fois qu’elles ont besoin de lui.
rewmi
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