Si une page se tourne dans l’histoire des relations entre la France et la Centrafrique, l’annonce est surtout symbolique. Dans les faits, Sangaris n’est plus réellement opérationnelle sur le terrain depuis la mi-septembre. Elle a progressivement passé le relais à la Minusca qui occupe le terrain en province, et n’accompagne plus les contingents onusiens lors de leurs patrouilles.
La présence française se résume aujourd’hui à 350 hommes – au plus fort de la crise, Sangaris en comptait 2500. Un effectif qui va rapidement décroître pour atteindre environ 260 soldats début 2017, soit un peu moins qu’avant le lancement de l’opération Sangaris. 80 soldats seront affectés à la mission européenne de formation de l’armée centrafricaine (EUTM), un détachement de 100 éléments sera détaché au sein de la Minusca dans une unité de drones tactiques (SDTI). Enfin, 80 soldats français demeureront en soutien à l’aéroport M’Poko.
Source jeune afrique.com
La présence française se résume aujourd’hui à 350 hommes – au plus fort de la crise, Sangaris en comptait 2500. Un effectif qui va rapidement décroître pour atteindre environ 260 soldats début 2017, soit un peu moins qu’avant le lancement de l’opération Sangaris. 80 soldats seront affectés à la mission européenne de formation de l’armée centrafricaine (EUTM), un détachement de 100 éléments sera détaché au sein de la Minusca dans une unité de drones tactiques (SDTI). Enfin, 80 soldats français demeureront en soutien à l’aéroport M’Poko.
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