Chez les bijoutiers du grand marché de Sandaga situé au cœur de la ville de Dakar, nombreux sont les jeunes qui se disent professionnels dans le domaine du piercing. Dans ces lieux dès qu’on débarque, on est interpellé de gauche à droite . Selon un jeune rencontré sur les lieux c’est surtout pendant les périodes de semaine culturelle ou d’ouverture de foyer qu’ils reçoivent le plus de clients. Malick Sow aborde dans le même sens en affirmant que c’est surtout pendant les périodes de vacances que les filles font la ruée chex eux pour se faire du piercing.
Même s’il ne comprend pas pourquoi les filles ont adopté cette mode, pour lui une chose est sure : il y a pas une partie du corps qu’elles ne se font pas percer. « Il y a eu le piercing du nez, du nombril, maintenant la tendance est au piercing de la langue. Je ne sais pas à quoi ça sert de se percer la langue, mais une chose est certaine, c’est cette mode qui est en vogue ces temps-ci. D’ailleurs, ce n’est pas la seule partie du corps qu’elles se font percer, nulle partie du corps n’est épargnée » a déclaré Malick. Si pour Omar Faye, il y a des parties du corps qu’il n’accepte pas de percer, son ami Serigne Fall, la vingtaine n’approuve aucune gêne pour percer les parties intimes.
« Il y a pas une partie que je n’accepte pas de percer même les parties intimes . L’essentiel pour moi est qu’on me paye une somme qui vaut le coup » confie-t-il. A l’en croire se sont en général les prostituées qui se font percer cette partie du corps. Ici le prix varie selon les parties du corps à percer. « Les prix changent selon la partie percée. Par exemple, le piercing des oreilles et du nez sont plus accessibles, car ils peuvent se faire à 1000 francs. Mais pour les autres parties, à savoir la langue, le sourcil, le menton le prix peut atteindre 5.000francs.
Le piercing des parties intimes est plus cher. Il se fait à 10.000 francs. Tout dépend de la clientèle, si c’est la première fois, le prix sera élevé. Une habitude peut bénéficier d’une réduction » explique Malick Sow. Pour le matériel utilisé, les perceurs du marché Sandaga estiment prendre des précautions pour respecter les normes d’hygiène. Les pistolets utilisés sont désinfectés avant et après chaque usage afin d’éviter les risques d’infections Scandale au quartier « Mariste » : Des driankes défilent L’appartement d’un ministre
123dakar.com
Même s’il ne comprend pas pourquoi les filles ont adopté cette mode, pour lui une chose est sure : il y a pas une partie du corps qu’elles ne se font pas percer. « Il y a eu le piercing du nez, du nombril, maintenant la tendance est au piercing de la langue. Je ne sais pas à quoi ça sert de se percer la langue, mais une chose est certaine, c’est cette mode qui est en vogue ces temps-ci. D’ailleurs, ce n’est pas la seule partie du corps qu’elles se font percer, nulle partie du corps n’est épargnée » a déclaré Malick. Si pour Omar Faye, il y a des parties du corps qu’il n’accepte pas de percer, son ami Serigne Fall, la vingtaine n’approuve aucune gêne pour percer les parties intimes.
« Il y a pas une partie que je n’accepte pas de percer même les parties intimes . L’essentiel pour moi est qu’on me paye une somme qui vaut le coup » confie-t-il. A l’en croire se sont en général les prostituées qui se font percer cette partie du corps. Ici le prix varie selon les parties du corps à percer. « Les prix changent selon la partie percée. Par exemple, le piercing des oreilles et du nez sont plus accessibles, car ils peuvent se faire à 1000 francs. Mais pour les autres parties, à savoir la langue, le sourcil, le menton le prix peut atteindre 5.000francs.
Le piercing des parties intimes est plus cher. Il se fait à 10.000 francs. Tout dépend de la clientèle, si c’est la première fois, le prix sera élevé. Une habitude peut bénéficier d’une réduction » explique Malick Sow. Pour le matériel utilisé, les perceurs du marché Sandaga estiment prendre des précautions pour respecter les normes d’hygiène. Les pistolets utilisés sont désinfectés avant et après chaque usage afin d’éviter les risques d’infections Scandale au quartier « Mariste » : Des driankes défilent L’appartement d’un ministre
123dakar.com