Il y a, d’abord, le facteur climatique qui peut jouer, même si, précise- t-il, c’est durant l’été qu’on a connu la deuxième vague et qu’aux Etats-Unis, ce sont les Etats les plus chauds qui sont les plus touchés.
Pour une prévention efficiente, le Pr. Seydi invite ainsi la population à se faire vacciner et les personnels de santé à respecter le délai prescrit pour administrer les différentes doses.
“Il est clairement établi qu’avec le vaccin AstraZeneca, il faut rester 3 ou 4 mois entre les deux doses, pour atteindre 80 % contre les formes symptomatiques”, a-t-il précisé.
En ce qui concerne la recherche, le directeur des Maladies infectieuses de l’hôpital Fann indique qu’il y a plusieurs recherches en cours sur le domaine, mais qu’il n’y a pas encore de résultats concluants.
Le professeur est également revenu, dans son exposé, sur le fameux artémisia de la pharmacopée traditionnelle africaine.
“Nous nous sommes soumis à certaines règles et nous n’avons pas des compétences pour étudier ces plantes. Il y a des préalables à respecter pour le faire et c’est tout un processus qu’il faut suivre. Pour l’artémisia, par exemple, une première étude préclinique a été menée, mais elle ne donne pas encore de résultats concluants”, indique-t-il.
“Les découvertes sur la Covid-19 sont importantes et ont amélioré sa compréhension, sa prise en charge et sa prévention. Cependant, ce qui reste à découvrir de cette maladie est tout aussi important. D’où la nécessité de recherche biomédicale constante, avec comme objectif prioritaire, la prévention et la prise en charge des cas malades. En tout état de cause, l’engagement politique, professionnel et communautaire reste le trépied sur lequel repose le succès de la lutte contre la Covid-19”, a-t-il conclu.
Enquête
Pour une prévention efficiente, le Pr. Seydi invite ainsi la population à se faire vacciner et les personnels de santé à respecter le délai prescrit pour administrer les différentes doses.
“Il est clairement établi qu’avec le vaccin AstraZeneca, il faut rester 3 ou 4 mois entre les deux doses, pour atteindre 80 % contre les formes symptomatiques”, a-t-il précisé.
En ce qui concerne la recherche, le directeur des Maladies infectieuses de l’hôpital Fann indique qu’il y a plusieurs recherches en cours sur le domaine, mais qu’il n’y a pas encore de résultats concluants.
Le professeur est également revenu, dans son exposé, sur le fameux artémisia de la pharmacopée traditionnelle africaine.
“Nous nous sommes soumis à certaines règles et nous n’avons pas des compétences pour étudier ces plantes. Il y a des préalables à respecter pour le faire et c’est tout un processus qu’il faut suivre. Pour l’artémisia, par exemple, une première étude préclinique a été menée, mais elle ne donne pas encore de résultats concluants”, indique-t-il.
“Les découvertes sur la Covid-19 sont importantes et ont amélioré sa compréhension, sa prise en charge et sa prévention. Cependant, ce qui reste à découvrir de cette maladie est tout aussi important. D’où la nécessité de recherche biomédicale constante, avec comme objectif prioritaire, la prévention et la prise en charge des cas malades. En tout état de cause, l’engagement politique, professionnel et communautaire reste le trépied sur lequel repose le succès de la lutte contre la Covid-19”, a-t-il conclu.
Enquête