Dans un communiqué, les membres de ce syndicat font aussi savoir «que contrairement à la législation en vigueur, des enseignants titulaires de Cdi n’ont pas perçu leurs salaires durant les vacances, dans certains établissements privés d’enseignement».
Tout en condamnant cette injustice fragrante, le Sudes/Enseignement privé «exige que tous les enseignants victimes d’une telle situation, soient remis dans leurs droits». Pour les auteurs du document, «le prétexte de la pandémie du Covid-19, ne peut expliquer cette violation délibérée des droits sociaux».
S’agissant des «vacataires» de l’enseignement privé, le syndicat «considère que la plupart d’entre eux, en vérité, devraient bénéficier d’un Cdi après des années de Cdd, en conséquence, ils devront tout aussi bénéficier de salaires pendant les vacances».
D’ailleurs, les syndicalistes trouvent «regrettable, que certains déclarants responsables, sous la contrainte, font signer à des enseignants «des contrats de prestations» renouvelables à l’infini, avec des salaires dérisoires et une précarité de l’emploi inadmissible. Le Sudes / Enseignement privé révèle que «lors des rentrées de classe, ces enseignants font l’objet de chantage pour le renouvellement de leur illégal contrat de prestations».
De même, ajoute-t-il, «dans la plupart des écoles privées laïques et franco-arabes, la grille des salaires n’est pas du tout respectée». Pour mettre fin à cette situation, ledit syndicat exhorte les autorités à « mettre en œuvre la législation en vigueur, pour mieux organiser le secteur de l’enseignement privé».
Dans ce cadre, les syndicalistes estiment qu’il «faut ériger la Division de l’Enseignement privé en Direction nationale, avec des moyens humains, financiers et logistiques suffisants pour le contrôle régulier des écoles privées».
Dans la même veine, le Sudes/Ep «exige la formation diplômante des enseignants du privé, pour leur éviter, entre autres, d’être d’éternels ´’stagiaires’’».
Le Quotidien
Tout en condamnant cette injustice fragrante, le Sudes/Enseignement privé «exige que tous les enseignants victimes d’une telle situation, soient remis dans leurs droits». Pour les auteurs du document, «le prétexte de la pandémie du Covid-19, ne peut expliquer cette violation délibérée des droits sociaux».
S’agissant des «vacataires» de l’enseignement privé, le syndicat «considère que la plupart d’entre eux, en vérité, devraient bénéficier d’un Cdi après des années de Cdd, en conséquence, ils devront tout aussi bénéficier de salaires pendant les vacances».
D’ailleurs, les syndicalistes trouvent «regrettable, que certains déclarants responsables, sous la contrainte, font signer à des enseignants «des contrats de prestations» renouvelables à l’infini, avec des salaires dérisoires et une précarité de l’emploi inadmissible. Le Sudes / Enseignement privé révèle que «lors des rentrées de classe, ces enseignants font l’objet de chantage pour le renouvellement de leur illégal contrat de prestations».
De même, ajoute-t-il, «dans la plupart des écoles privées laïques et franco-arabes, la grille des salaires n’est pas du tout respectée». Pour mettre fin à cette situation, ledit syndicat exhorte les autorités à « mettre en œuvre la législation en vigueur, pour mieux organiser le secteur de l’enseignement privé».
Dans ce cadre, les syndicalistes estiment qu’il «faut ériger la Division de l’Enseignement privé en Direction nationale, avec des moyens humains, financiers et logistiques suffisants pour le contrôle régulier des écoles privées».
Dans la même veine, le Sudes/Ep «exige la formation diplômante des enseignants du privé, pour leur éviter, entre autres, d’être d’éternels ´’stagiaires’’».
Le Quotidien