Dans une déclaration solennelle postée hier nuit dans les réseaux sociaux, le leader de Pastef Ousmane Sonko dénonce ce qu’il qualifie, de placement en résidence surveillée. Et prend l’opinion nationale et internationale à témoin. «On s’approche dangereusement de la ligne rouge qui peut conduire le Sénégal à la guerre civile. Non seulement mon convoi a été bloqué à l’entrée du tunnel de Soumbédioune, mais encore les policiers m’ont extrait violemment de mon véhicule pour me jeter à bord d’un fourgon blindé de la police», a-t-il fustigé, raconte "Le Témoin".
« Pis encore, les forces de l’ordre de Macky Sall ont encerclé ma maison pour m’empêcher d’aller tenir ma conférence de presse. Dans la même foulée, elles m’ont interdit de sortir pour aller au banquet de l’ambassade des Usa à Dakar, pour la célébration de l’anniversaire de l’indépendance de ce pays. Vous voyez comment Macky Sall et ses forces de l’ordre m’ont placé en résidence surveillée ! Mais on peut pas arrêter la mer avec les bras », a déclaré Ousmane Sonko la mort dans l’âme, tout en se disant déterminé à mener le combat.
« Pis encore, les forces de l’ordre de Macky Sall ont encerclé ma maison pour m’empêcher d’aller tenir ma conférence de presse. Dans la même foulée, elles m’ont interdit de sortir pour aller au banquet de l’ambassade des Usa à Dakar, pour la célébration de l’anniversaire de l’indépendance de ce pays. Vous voyez comment Macky Sall et ses forces de l’ordre m’ont placé en résidence surveillée ! Mais on peut pas arrêter la mer avec les bras », a déclaré Ousmane Sonko la mort dans l’âme, tout en se disant déterminé à mener le combat.