Ce n’est pas seulement qu’il est le plus présentable de tous les candidats, mais surtout, il est l’homme qui n’a pas attendu d’avoir le pouvoir entre les mains pour agir auprès des populations et ce, sans l’appui de l’État, depuis une trentaine d’années, c’est-à-dire de 1981 (année internationale de la jeunesse) à nos jours.
Même Me Wade qui supporte mal l’idée que quelqu’un fasse mieux que lui et son fils, a fini par le reconnaitre lors de la remise des Prix au concours de poésie sur le thème « L’apport de Cheikh Ahmadou Bamba à l’humanité », tenue à l’hôtel Méridien-Président en mai 2009. Le Chef de l’État disait de lui : « Votre grand rôle d’éducateur de la jeunesse est certes indéniable. Aussi, devriez-vous vous occuper même des adultes. J’avoue en toute sincérité que vous avez réussi là où je n’ai pas pu.
Je pense que vous êtes quelqu’un qui devrait être soutenu. Maintenant, j’ai décidé de le faire ». Et depuis : rien !
Combien de jeunes sénégalaises et sénégalais, issus de toutes les couches sociales, de toutes les régions du pays, certains originaires de la sous région et d’autres d’Europe, le Général de la Paix (puisqu’il y a des Généraux de la guerre) a sorti des milieux de la perdition, les aidant
ainsi à retrouver leur dignité d’homme ou de femme ? Grâce à lui beaucoup ont appris à réciter le Coran, à lire et écrire.
Grâce à lui, des citadins se sont convertis en ruraux et ont fini par apprendre et par aimer le travail de la terre. Il a parrainé nombre de jeunes dans leurs études secondaires ou universitaires, les poussant et les encourageant ainsi à suivre des formations professionnelles, et en a détourné d’autres d’actes répréhensibles tels le vol, l’agression, la drogue, le crime, etc...
Qui disait : « Dis moi quelle jeunesse tu as, je te dirais quel peuple tu es » ? Il est le seul dans notre pays capable de mobiliser des milliers de jeunes pour aller nettoyer bénévolement nos hôpitaux et cimetières, donner du sang au Centre de Transfusion en quantité suffisante ou encore aider les sinistrés des quartiers inondés par les pluies.
Combien de personnes viennent le solliciter tous les jours pour leurs problèmes d’ordonnances médicales ou des pères de famille pour leur dépense quotidienne ? Aux temps des délestages intempestifs, il a toujours refusé qu’un groupe électrogène soit installé chez lui pour, dit-il, rester solidaire avec ceux qui n’en ont pas et qui sont condamnés à subir les coupures d’électricité.
Il est celui qui n’a jamais incité à la violence ni tenu des propos haineux envers qui que ce soit. Personne ne doute plus de sa vaste science, de sa tolérance sans limite et de sa patience à toute épreuve.
Il est d’une telle générosité que nul n’ignore qu’il redonne « par la main gauche ce qu’il reçoit de la main droite » quelle qu’en soit la valeur. Il ne construit pas des entreprises, mais des hommes, ne crée pas des emplois, mais des futurs employeurs, et n’investit pas dans des sociétés, mais dans la Société.
Il n’a pas des comptes en banque puisqu’il ne garde rien. Il « œuvre pour Dieu à travers les Hommes », en « travaillant pour ce bas monde comme si on ne devait jamais mourir et priant Dieu comme si on mourrait demain ». Il est le candidat idéal de notre Sénégal constitué de 99, 99 % de croyants pour nous mener vers le succès par le canal de ces deux principes.
Son éloquence et son charisme ne sont plus à démontrer. Pédagogue de catégorie exceptionnelle, il dépense et se dépense pour des milliers d’enfants d’autrui en se consacrant à les rééduquer sans jamais revendiquer des moyens auprès de l’État ni se décourager. Il est infatigable, ne dort pas, se nourrit frugalement. Son humilité est surprenante. Il garde la même aisance, que ce soit dans une suite d’hôtel cinq étoiles ou sous une case de paille en pleine brousse. Grand ennemi de la paresse, il fait de la chasse son sport favori.
Combien de fois n’a-t-il pas aidé par ses conseils, toujours de façon discrète, les autorités de ce pays à sortir de l’impasse ? Espérons qu’eux-mêmes, par respect envers leur propre conscience, se confesseront un jour devant le Peuple sénégalais qui leur a tout donné et qu’ils aient de la reconnaissance en retour.
Qui s’est engagé comme il l’a fait, dans le dialogue islamo-judéo-chrétien ? Ne travaille t-il pas souvent à réunir les familles religieuses ou réconcilier les politiques ? Personne ne l’a jamais entendu dire du mal de quelqu’un, en privé comme en public. Et jamais il n’a répondu au mal dit de lui.
Son sens du pardon n’a d’égal que son sens de l’ouverture. Voilà un homme de grande noblesse d’âme et de cœur, aux vertus chevaleresques digne de notre confiance pour tenir les rênes de notre pays.
Cheikh Ahmad Kara fut le premier sénégalais à notre connaissance, à s’être exprimé dans une de nos langues nationales au siège de l’Unesco (temple des cultures du monde) à Paris, avant de continuer son discours en arabe, puis en français.
Ce fut le jour de sa nomination d’Ambassadeur de la Paix en octobre 2005. En ce fameux jour, le Général de la Paix fit preuve d’un rare comportement citoyen, de patriotisme même devrions-nous dire, en attendant patiemment et stoïquement madame l’ambassadrice arrivée avec une heure de retard dans un pays où l’heure c’est l’heure, après l’heure ce n’est plus l’heure... Beaucoup de personnes de l’assistance ont failli partir, mais l’aura de l’homme qui refusait de prendre la parole sans la présence de la représentante de son pays, les avait retenus.
Quelle grâce et quelle classe ! Enfin quand Mme son Excellence est entrée dans la salle, c’est le lauréat du diplôme de la paix en personne, qui s’est levé en premier pour aller à sa rencontre et l’accueillir.
Et tout le monde s’est mis debout sur son passage. Comme si l’objet de la cérémonie s’agissait d’elle. C’est sûr que notre chère ambassadrice n’avait jamais eu droit à autant d’égards de toute sa carrière de diplomate.
Il est la première personnalité dans l’histoire politique du Sénégal à former un parti de régulation. Jusque-là nous ne connaissions que trois formes de partis : celui du pouvoir, de l’opposition et de contribution.
Si nous aurons la chance de l’avoir à la tête de notre Nation, le monde nous regardera désormais avec des yeux nouveaux. Devant les occidentaux, le Général Kara n’apparaitra pas comme un de leurs élèves formés sur les bancs de leurs écoles. Ils le respecteront puisque qu’il ne leur tiendra pas le langage qu’ils ont eu l’habitude d’entendre. Il est le seul à être capable de se faire entendre et écouter par quiconque.
La preuve, il a de nombreux disciples issus d’horizons divers. Il est l’unique candidat dont les enfants n’ont pas le comportement de ces « fils à papa » que nous connaissons trop bien...
Pendant que des candidats parlent de démocratie, de socialisme, de libéralisme et autres, lui, nous propose le Réalisme africain par une politique de VÉRITÉ (Al Haqq). Car, aucune société ne peut prétendre à un véritable développement sans celui de l’Humain d’abord, et non sans l’usage de cet Attribut de Notre Seigneur Le Tout-Puissant. Qui avant lui, y avait songé ? Où a-t-on vu un Parti de la Vérité voir le jour dans ce monde si ce n’est dans notre Sénégal, terre des saints hommes ?
Les autres candidats nous proposent du « déjà vu et connu », autrement dit, des modèles copiés de l’occident, inadaptables aux valeurs et cultures de notre société. Or, il n’y a que lui et lui seul, qui est porteur d’un projet de société original, tiré des enseignements du Cheikh Ahmadou Bamba, le héros auquel même les colons qui étaient ses farouches adversaires ont témoigné de sa sagesse et de sa science hors du commun.
Quand aujourd’hui le monde entier souffre d’un manque de Paix, pourquoi le Sénégal ne se proposerait-il pas d’être le pays précurseur d’un mode de vie inspirée de cet apôtre hors-pair de la non-violence ?
Imaginez-vous une seconde que nous n’avions pas ce Général de Bamba dans notre pays ? Le Sénégal a plus que jamais besoin d’un homme de sa trempe pour le hisser au diapason. C’est une providence pour notre pays après une cinquantaine d’années d’errance et d’illusion d’indépendance qui n’ont que trop duré.
Nous ne serons pas surpris d’entendre des personnes cachées derrière des textes qu’ils ont eux-mêmes concoctés, brandir des lois et articles de leur fabrication pour vociférer contre sa candidature qui ne les arrange pas. Mais nous leur répondrons que la Constitution des États-Unis qui ne prévoyait pas la venue d’un homme à la couleur d’Obama, a fini par s’y faire.
Car, c’est avec les réalités d’un pays qu’une Constitution se confectionne, et non avec les ambitions personnelles et viciées d’un groupuscule. Aussi, pouvons-nous comprendre que quelques individus puissent s’inquiéter de l’imminence d’une Révolution (pacifique, elle sera), tout comme ces noirs d’Amérique qui, à la suite de l’abolition de l’esclavage, eurent peur d’être affranchis.
Parce que nés sous la condition d’esclave, grandi et toujours vécu tellement dans ce système, ils ne pouvaient s’imaginer qu’il y avait mieux. Après l’Emancipate yourself from mental slavery que chantait Bob Marley, reste maintenant à mettre fin à la colonisation mentale pour que vive la VÉRITÉ ! ‘‘YES… WE CAN’’.
Même Me Wade qui supporte mal l’idée que quelqu’un fasse mieux que lui et son fils, a fini par le reconnaitre lors de la remise des Prix au concours de poésie sur le thème « L’apport de Cheikh Ahmadou Bamba à l’humanité », tenue à l’hôtel Méridien-Président en mai 2009. Le Chef de l’État disait de lui : « Votre grand rôle d’éducateur de la jeunesse est certes indéniable. Aussi, devriez-vous vous occuper même des adultes. J’avoue en toute sincérité que vous avez réussi là où je n’ai pas pu.
Je pense que vous êtes quelqu’un qui devrait être soutenu. Maintenant, j’ai décidé de le faire ». Et depuis : rien !
Combien de jeunes sénégalaises et sénégalais, issus de toutes les couches sociales, de toutes les régions du pays, certains originaires de la sous région et d’autres d’Europe, le Général de la Paix (puisqu’il y a des Généraux de la guerre) a sorti des milieux de la perdition, les aidant
ainsi à retrouver leur dignité d’homme ou de femme ? Grâce à lui beaucoup ont appris à réciter le Coran, à lire et écrire.
Grâce à lui, des citadins se sont convertis en ruraux et ont fini par apprendre et par aimer le travail de la terre. Il a parrainé nombre de jeunes dans leurs études secondaires ou universitaires, les poussant et les encourageant ainsi à suivre des formations professionnelles, et en a détourné d’autres d’actes répréhensibles tels le vol, l’agression, la drogue, le crime, etc...
Qui disait : « Dis moi quelle jeunesse tu as, je te dirais quel peuple tu es » ? Il est le seul dans notre pays capable de mobiliser des milliers de jeunes pour aller nettoyer bénévolement nos hôpitaux et cimetières, donner du sang au Centre de Transfusion en quantité suffisante ou encore aider les sinistrés des quartiers inondés par les pluies.
Combien de personnes viennent le solliciter tous les jours pour leurs problèmes d’ordonnances médicales ou des pères de famille pour leur dépense quotidienne ? Aux temps des délestages intempestifs, il a toujours refusé qu’un groupe électrogène soit installé chez lui pour, dit-il, rester solidaire avec ceux qui n’en ont pas et qui sont condamnés à subir les coupures d’électricité.
Il est celui qui n’a jamais incité à la violence ni tenu des propos haineux envers qui que ce soit. Personne ne doute plus de sa vaste science, de sa tolérance sans limite et de sa patience à toute épreuve.
Il est d’une telle générosité que nul n’ignore qu’il redonne « par la main gauche ce qu’il reçoit de la main droite » quelle qu’en soit la valeur. Il ne construit pas des entreprises, mais des hommes, ne crée pas des emplois, mais des futurs employeurs, et n’investit pas dans des sociétés, mais dans la Société.
Il n’a pas des comptes en banque puisqu’il ne garde rien. Il « œuvre pour Dieu à travers les Hommes », en « travaillant pour ce bas monde comme si on ne devait jamais mourir et priant Dieu comme si on mourrait demain ». Il est le candidat idéal de notre Sénégal constitué de 99, 99 % de croyants pour nous mener vers le succès par le canal de ces deux principes.
Son éloquence et son charisme ne sont plus à démontrer. Pédagogue de catégorie exceptionnelle, il dépense et se dépense pour des milliers d’enfants d’autrui en se consacrant à les rééduquer sans jamais revendiquer des moyens auprès de l’État ni se décourager. Il est infatigable, ne dort pas, se nourrit frugalement. Son humilité est surprenante. Il garde la même aisance, que ce soit dans une suite d’hôtel cinq étoiles ou sous une case de paille en pleine brousse. Grand ennemi de la paresse, il fait de la chasse son sport favori.
Combien de fois n’a-t-il pas aidé par ses conseils, toujours de façon discrète, les autorités de ce pays à sortir de l’impasse ? Espérons qu’eux-mêmes, par respect envers leur propre conscience, se confesseront un jour devant le Peuple sénégalais qui leur a tout donné et qu’ils aient de la reconnaissance en retour.
Qui s’est engagé comme il l’a fait, dans le dialogue islamo-judéo-chrétien ? Ne travaille t-il pas souvent à réunir les familles religieuses ou réconcilier les politiques ? Personne ne l’a jamais entendu dire du mal de quelqu’un, en privé comme en public. Et jamais il n’a répondu au mal dit de lui.
Son sens du pardon n’a d’égal que son sens de l’ouverture. Voilà un homme de grande noblesse d’âme et de cœur, aux vertus chevaleresques digne de notre confiance pour tenir les rênes de notre pays.
Cheikh Ahmad Kara fut le premier sénégalais à notre connaissance, à s’être exprimé dans une de nos langues nationales au siège de l’Unesco (temple des cultures du monde) à Paris, avant de continuer son discours en arabe, puis en français.
Ce fut le jour de sa nomination d’Ambassadeur de la Paix en octobre 2005. En ce fameux jour, le Général de la Paix fit preuve d’un rare comportement citoyen, de patriotisme même devrions-nous dire, en attendant patiemment et stoïquement madame l’ambassadrice arrivée avec une heure de retard dans un pays où l’heure c’est l’heure, après l’heure ce n’est plus l’heure... Beaucoup de personnes de l’assistance ont failli partir, mais l’aura de l’homme qui refusait de prendre la parole sans la présence de la représentante de son pays, les avait retenus.
Quelle grâce et quelle classe ! Enfin quand Mme son Excellence est entrée dans la salle, c’est le lauréat du diplôme de la paix en personne, qui s’est levé en premier pour aller à sa rencontre et l’accueillir.
Et tout le monde s’est mis debout sur son passage. Comme si l’objet de la cérémonie s’agissait d’elle. C’est sûr que notre chère ambassadrice n’avait jamais eu droit à autant d’égards de toute sa carrière de diplomate.
Il est la première personnalité dans l’histoire politique du Sénégal à former un parti de régulation. Jusque-là nous ne connaissions que trois formes de partis : celui du pouvoir, de l’opposition et de contribution.
Si nous aurons la chance de l’avoir à la tête de notre Nation, le monde nous regardera désormais avec des yeux nouveaux. Devant les occidentaux, le Général Kara n’apparaitra pas comme un de leurs élèves formés sur les bancs de leurs écoles. Ils le respecteront puisque qu’il ne leur tiendra pas le langage qu’ils ont eu l’habitude d’entendre. Il est le seul à être capable de se faire entendre et écouter par quiconque.
La preuve, il a de nombreux disciples issus d’horizons divers. Il est l’unique candidat dont les enfants n’ont pas le comportement de ces « fils à papa » que nous connaissons trop bien...
Pendant que des candidats parlent de démocratie, de socialisme, de libéralisme et autres, lui, nous propose le Réalisme africain par une politique de VÉRITÉ (Al Haqq). Car, aucune société ne peut prétendre à un véritable développement sans celui de l’Humain d’abord, et non sans l’usage de cet Attribut de Notre Seigneur Le Tout-Puissant. Qui avant lui, y avait songé ? Où a-t-on vu un Parti de la Vérité voir le jour dans ce monde si ce n’est dans notre Sénégal, terre des saints hommes ?
Les autres candidats nous proposent du « déjà vu et connu », autrement dit, des modèles copiés de l’occident, inadaptables aux valeurs et cultures de notre société. Or, il n’y a que lui et lui seul, qui est porteur d’un projet de société original, tiré des enseignements du Cheikh Ahmadou Bamba, le héros auquel même les colons qui étaient ses farouches adversaires ont témoigné de sa sagesse et de sa science hors du commun.
Quand aujourd’hui le monde entier souffre d’un manque de Paix, pourquoi le Sénégal ne se proposerait-il pas d’être le pays précurseur d’un mode de vie inspirée de cet apôtre hors-pair de la non-violence ?
Imaginez-vous une seconde que nous n’avions pas ce Général de Bamba dans notre pays ? Le Sénégal a plus que jamais besoin d’un homme de sa trempe pour le hisser au diapason. C’est une providence pour notre pays après une cinquantaine d’années d’errance et d’illusion d’indépendance qui n’ont que trop duré.
Nous ne serons pas surpris d’entendre des personnes cachées derrière des textes qu’ils ont eux-mêmes concoctés, brandir des lois et articles de leur fabrication pour vociférer contre sa candidature qui ne les arrange pas. Mais nous leur répondrons que la Constitution des États-Unis qui ne prévoyait pas la venue d’un homme à la couleur d’Obama, a fini par s’y faire.
Car, c’est avec les réalités d’un pays qu’une Constitution se confectionne, et non avec les ambitions personnelles et viciées d’un groupuscule. Aussi, pouvons-nous comprendre que quelques individus puissent s’inquiéter de l’imminence d’une Révolution (pacifique, elle sera), tout comme ces noirs d’Amérique qui, à la suite de l’abolition de l’esclavage, eurent peur d’être affranchis.
Parce que nés sous la condition d’esclave, grandi et toujours vécu tellement dans ce système, ils ne pouvaient s’imaginer qu’il y avait mieux. Après l’Emancipate yourself from mental slavery que chantait Bob Marley, reste maintenant à mettre fin à la colonisation mentale pour que vive la VÉRITÉ ! ‘‘YES… WE CAN’’.
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