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PHÉNOMÈNE DE LESBIANISME À DAKAR : CES GRANDES DAMES QUI DRAGUENT LES JEUNES FILLES

Rédigé par leral.net le Vendredi 22 Juillet 2011 à 12:54 commentaire(s)|

Même si les lesbiennes se cachent de moins en moins, elles mènent dans l'ensemble une vie à l'abri des regards indiscrets. Sans nier leur sexualité, elles ne la jettent pas à la face du monde. Une raison simple à cela : l'homosexualité a toujours été et est encore aujourd'hui un tabou majeur de la société et l'homophobie, on en fait le constat tous les jours, est encore très présent en Europe et plus encore ailleurs dans le reste du monde. Tant que le credo "pour vivre heureuses, vivons cachés" aura sa part de vérité, la plupart des lesbiennes resteront dans leur placard, en attendant des jours plus tolérants.


PHÉNOMÈNE DE LESBIANISME À DAKAR : CES GRANDES DAMES QUI DRAGUENT LES JEUNES FILLES
Hélas certaines grandes dames préfèrent les filles. Pourquoi ? es ce une dégradation des mœurs ou juste une envie de découverte sexuelle ? Contrairement aux homosexuels les lesbiennes sont plus sournoises et difficiles repérer.

A dakar ses grandes dames mariées ou célibataires menant une vie tout a fait normal ne donnent pas l'apparence de ce qu’elles sont réellement. Le lesbianisme ou saphisme très répandue au Sénégal existe bel et bien, maintenant certaines femmes « drianké » n'hésitent pas a draguer les jeunes filles. Surtout étudiante ou élève en cas de besoin.

Les grandes dames à l'affut …

Très classe dans sa voiture 4x4 cette dame témoigner pourquoi elle préfère les femmes aux hommes évidemment dans l’anonymat « j’étais mariée et j’ai jamais eu de plaisir avec mon mari. Un jour j’ai rencontré une femme très bien habillée la quarantaine dans une boutique ou on vendait de l’encens, elle a commencé a me parler et me proposait des échantillons de « thiouraye » elle était très sympathique avec moi et comme le courant passait entre nous, on a échangé nos contacts et c’est ainsi qu’on a commençait a se fréquenter et a avoir des relations sexuelles. C'est avec cette femme que j'ai découvert un plaisir si intense que j’ai finalement divorcé de mon cher mari. »

La pratique du lesbianisme se cache derrière des apparences d’amitié singulière et même si ce phénomène est accepté a l’occident c’est pas le cas dans certains pays africain. Au Sénégal particulièrement elles deviennent de plus en plus nombreuses. Dans les boites de nuit elles

s'affichent discrètement pour ne pas trop attirer l’attention. La majorité des grandes dames gouine sont riches de vrai « driankés », des intellectuelles.

« C'était lors d'un séminaire d'entreprise, une dame participante me proposait chaque fin de journée de me déposer avec sa voiture. Je pouvais pas en ce moment imaginer quoi que ça soit. Tout était normale selon moi car je me disais qu'elle voulait juste m'aider en tant que collègue de travail. Mais la veille de la fin du séminaire, en me déposant chez moi vers 19h, la « dame » m'a donné la surprise de ma vie. Elle s'est permis de glisser sa main sous ma jupe pour me dire que j'avais de belles jambes. C'était comme si tous mes poils se sont raidis, mon coeur avait même arrêté de battre ! J'ai aussitôt bouter sa main hors de mes jambes malgré le respect qu'elle m'inspirait. Ensuite, je me suis sauvé de sa voiture en courant, oubliant même mon téléphone. J'ai pas pu dormir cette nuit là, tel un cauchemar, je venais de réaliser que cette digne, gentille, riche et responsable femme était lesbienne. » Se confie Nathalie, 30 ans.

« Moi, je pense que ces femmes sont malades. Il faut être complétement déséquilibré pour préférer une personne du même sexe. J'ai 34 ans, mais jamais au monde je ne préférerai un femme qu'à un homme mûr et bien portant. Je veux même pas imaginer le plaisir qu'on rate quand on décide de ne plus être avec un homme. Elles sont malades! » déclare Yacine M.

Mais le témoignage de cet homme, un batteur de tam-tam nous en dit en plus sur la pratique du lesbianisme; il y en aurait beaucoup plus qu'on ne l'imagine chez les grandes dames ou driankés. "C'est une grande dame, son mari était alors ministre. Elle organisait un "tama" dans sa résidence aux Almadies. Il n'y avait que de belles "driankés", mais que des danses obsènes. Elles ne remarquaient même pas la présence d'hommes que nous étions mes trois gars et moi. Je l'ai suivie jusque dans sa chambre en battant mon "tama" mais la scène avec une dame était choquante. Elles se montraient leurs sexes mutuellement et l'une était presque nue en dansant, elle ne portait plus son pagne".

Pour Moustapha, même si elles ont un copain avec qui elles s'affichent, ça ne change en rien leur lesbiannisme. "J'habite un coin entre Médina et Fass, je vous dit que la fille est bien connue dans le quartier mais personne ne doute de son homosexualité. Elle a un copain et souvent s'affiche avec lui car elle est joueuse dans une équipe de football très connue. J'ai eu la malchance, une fois de la surprendre dans une chambre avec une de ses copines. Toutes nues, elles étaient entrain de se donner du plaisir mutuellement par la main et en s'embrassant. Elles m'ont vu toutes les deux et si elles lisent cet article, elles se reconnaitront." Nous avoue Moustapha qui en souriant finit par lâcher qu'il a "regretté de ne pas le rejoindre ce jour là pour prendre sa part de plaisir et bien les corriger en tant qu'homme."

Mais la grande question est comment en sortir ? Comment reconnaître les femmes homosexuelles ou quelles peuvent être les signes particuliers pour les distinguer des autres ? Les hommes ne sont-ils plus capables ? Les femmes ne retrouvent-elles plus de plaisir chez les hommes ? Où est-ce juste une pratique contre-nature à dénoncer ? Autant de questions qu'on pourrait se poser pour mieux comprendre ce phénomène.

Source: 123Dakar.Com