« Maintenant, comme je vous l’ai dit sur Dakar, il faut avoir l’homme qu’il faut. Il y a toujours des résidents qui veulent garder une certaine quiétude. Des résidents qui ne veulent pas toujours subir les inconvénients des chantiers à n’en plus finir. Il faut être à l’écoute des citoyens mais j’ai l’impression que notre maire ne nous écoute pas. Le sentiment que j’ai lorsque je fais mes porte-à-porte, c’est qu’on ne le voit pas. On le voit au coin de rue discuter et autre, mais on ne le voit pas s’enquérir des problèmes des populations », indique l’invité du JDD selon qui, dans cette commune, les conseils de quartier ne se tiennent pas.
Fofana déplore beaucoup de décisions unilatérales de l’équipe municipale en place : « La vérité c’est que la démocratie participative n’existe pas et si cette démocratie participative existait, notre maire aurait pu comprendre que dans notre commune, il y a 5 priorités. La première des priorités, c’est la sécurité. Tout le monde s’en plaint. On ne peut pas être dans une commune où si vous avez les moyens d’avoir un gardien, vous êtes en paix et si vous n’en avez pas, vous n’avez pas la paix ».
« Que ce soit Sicap rue 10, Amitié 1 et 2,les agressions, les vols à l’arraché sont le quotidien des populations. L’autre chose, c’est la question du cadre de vie et de l’hygiène publique. Les allées Seydou Nourou Tall sont devenues un dépotoir de ferraille pour ceux qui travaillent dans notre commune, alors que ça devait être une opportunité ».
Toutefois, il pense qu’il devait y avoir une collaboration franche pour faire respecter la réglementation.
« On a toujours des conflits au Point E pour des zones de stationnement, de parking. Nous, nous voulons bien que les entreprises viennent s’installer parce que c’est une source d’enrichissement et de richesse pour notre commune. C’est aussi un moyen peut-être de trouver à nos jeunes, l’emploi. Cependant, ce que nous voyons, c’est qu’il y a un laxisme municipal et le laxisme municipal, c’est parfois une question de compétence. En 2014, le budget de notre commune, était de 400 millions. Beaucoup de maires de l’opposition fustigent l’acte 3 de la décentralisation mais dans notre commune, le budget est passé de 400 millions à 1,8 milliard FCfa. Mais qu’est-ce qui a changé ? », s’interroge-t-il.
Avant de conclure : « quand il pleut, vous avez les mêmes problèmes que les autres communes qui ont un problème de réseau d’assainissement. On a les moyens d’avoir notre propre brigade en collaboration avec la police et la gendarmerie, pour assurer la sécurité des populations. On peut avoir aussi une équipe de désensablement comme cela se fait dans d’autres communes ».
emedia
Fofana déplore beaucoup de décisions unilatérales de l’équipe municipale en place : « La vérité c’est que la démocratie participative n’existe pas et si cette démocratie participative existait, notre maire aurait pu comprendre que dans notre commune, il y a 5 priorités. La première des priorités, c’est la sécurité. Tout le monde s’en plaint. On ne peut pas être dans une commune où si vous avez les moyens d’avoir un gardien, vous êtes en paix et si vous n’en avez pas, vous n’avez pas la paix ».
« Que ce soit Sicap rue 10, Amitié 1 et 2,les agressions, les vols à l’arraché sont le quotidien des populations. L’autre chose, c’est la question du cadre de vie et de l’hygiène publique. Les allées Seydou Nourou Tall sont devenues un dépotoir de ferraille pour ceux qui travaillent dans notre commune, alors que ça devait être une opportunité ».
Toutefois, il pense qu’il devait y avoir une collaboration franche pour faire respecter la réglementation.
« On a toujours des conflits au Point E pour des zones de stationnement, de parking. Nous, nous voulons bien que les entreprises viennent s’installer parce que c’est une source d’enrichissement et de richesse pour notre commune. C’est aussi un moyen peut-être de trouver à nos jeunes, l’emploi. Cependant, ce que nous voyons, c’est qu’il y a un laxisme municipal et le laxisme municipal, c’est parfois une question de compétence. En 2014, le budget de notre commune, était de 400 millions. Beaucoup de maires de l’opposition fustigent l’acte 3 de la décentralisation mais dans notre commune, le budget est passé de 400 millions à 1,8 milliard FCfa. Mais qu’est-ce qui a changé ? », s’interroge-t-il.
Avant de conclure : « quand il pleut, vous avez les mêmes problèmes que les autres communes qui ont un problème de réseau d’assainissement. On a les moyens d’avoir notre propre brigade en collaboration avec la police et la gendarmerie, pour assurer la sécurité des populations. On peut avoir aussi une équipe de désensablement comme cela se fait dans d’autres communes ».
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