Qu’importent les scandales de l’Anoci, les prêts importants et inquiétants contractés dans des conditions non élucidées !»
Ce qui outre le plus l’Afp, c’est que «pendant ce temps, les dossiers prioritaires concernant directement les populations sont royalement ignorés». Les progressistes en déduisent que «le Sénégal d’aujourd’hui ressemble à un bateau ivre qui, à force de tanguer au milieu des écueils, s’enfonce dans la turbulence des flots, face à l’impuissance d’un capitaine et d’un équipage totalement désemparés. Parés de tous les attributs extérieurs de leurs fonctions, dix ans après, ils semblent toujours éblouis par les ors dont ils ont toujours rêvé, sans jamais y croire. Paralysés par leurs besoins toujours accrus de richesses terrestres, ils continuent, à partir de leurs positions de pouvoir, de s’adonner à leur jeu singulier, l’accaparement du bien public au profit d’un clan qui a irrémédiablement perdu prise avec la réalité».
Pour preuve, Moustapha Niasse et ses camarades évoquent les détournements de semences dans le monde rural. «La liste ahurissante des attributaires des semences initialement destinées aux paysans montre éloquemment la nature d’un régime dont les principaux hommes qui l’animent ont rompu définitivement avec la morale républicaine, la morale tout court».
Pour l’Afp, «cette nouvelle forfaiture au détriment du monde rural et de l’économie nationale est le prolongement des abus qui ont présidé à la mise en branle tapageuse de la Goana, qui a entraîné la confiscation des terres des vrais paysans, au profit d’une nouvelle caste dont la voracité est inédite».
Et le plus grave, c’est que «ce développement de la corruption se déroule sur fond d’émeutes touchant des localités inattendues, révélant ainsi un ras-le-bol général qui s’exprime de plus en plus vigoureusement sur toute l’étendue du territoire national. Les délestages interminables et les pénuries récentes de gaz auraient conduit n’importe quel homme d’Etat authentique à rendre son tablier, pour incompétence caractérisée, avec la corruption comme facteur aggravant».
Bachir FOFANA le populaire
Ce qui outre le plus l’Afp, c’est que «pendant ce temps, les dossiers prioritaires concernant directement les populations sont royalement ignorés». Les progressistes en déduisent que «le Sénégal d’aujourd’hui ressemble à un bateau ivre qui, à force de tanguer au milieu des écueils, s’enfonce dans la turbulence des flots, face à l’impuissance d’un capitaine et d’un équipage totalement désemparés. Parés de tous les attributs extérieurs de leurs fonctions, dix ans après, ils semblent toujours éblouis par les ors dont ils ont toujours rêvé, sans jamais y croire. Paralysés par leurs besoins toujours accrus de richesses terrestres, ils continuent, à partir de leurs positions de pouvoir, de s’adonner à leur jeu singulier, l’accaparement du bien public au profit d’un clan qui a irrémédiablement perdu prise avec la réalité».
Pour preuve, Moustapha Niasse et ses camarades évoquent les détournements de semences dans le monde rural. «La liste ahurissante des attributaires des semences initialement destinées aux paysans montre éloquemment la nature d’un régime dont les principaux hommes qui l’animent ont rompu définitivement avec la morale républicaine, la morale tout court».
Pour l’Afp, «cette nouvelle forfaiture au détriment du monde rural et de l’économie nationale est le prolongement des abus qui ont présidé à la mise en branle tapageuse de la Goana, qui a entraîné la confiscation des terres des vrais paysans, au profit d’une nouvelle caste dont la voracité est inédite».
Et le plus grave, c’est que «ce développement de la corruption se déroule sur fond d’émeutes touchant des localités inattendues, révélant ainsi un ras-le-bol général qui s’exprime de plus en plus vigoureusement sur toute l’étendue du territoire national. Les délestages interminables et les pénuries récentes de gaz auraient conduit n’importe quel homme d’Etat authentique à rendre son tablier, pour incompétence caractérisée, avec la corruption comme facteur aggravant».
Bachir FOFANA le populaire