« Je suis libéral, et je le demeurerai toujours », souligne l’homme qui milite depuis 1974 dans le parti de celui dont la candidature a soulevé des vagues au Sénégal et au plan international. « Que voulez-vous que je fasse mon fils se devait de mourir ce jour-là, dans de telles circonstances. Nul ne peut infléchir dans le cours du destin. Je prie pour le repos de son âme, je pense que c’est le plus important », confie Baba Kao son surnom, d’une voix ferme.
Le vieux paysan ne veut plus entendre parler de plainte ni d’éclaircissement sur les circonstances de la mort de Mamadou. Peut-être, évite-il en homme sage de retourner le couteau dans une plaie encore béante, comme en atteste le regard de son épouse essayant tant que bien mal d’être forte dans l’épreuve. Ibrahima Sy jouit d’une bonne réputation à Podor. Il est présenté comme un sage éclairé, un homme de valeur et de foi. « Pour le décès de mon fils, j’aurai incriminé le pouvoir et l’opposition. Tous ont été irresponsables. Les politiciens doivent cesser d’utiliser des jeunes innocents, dans leurs manifestations, c’est injuste que ces enfants paient pour leur pots cassés », martèle-il et puis la parenthèse se referme.
Chimère diop
Le vieux paysan ne veut plus entendre parler de plainte ni d’éclaircissement sur les circonstances de la mort de Mamadou. Peut-être, évite-il en homme sage de retourner le couteau dans une plaie encore béante, comme en atteste le regard de son épouse essayant tant que bien mal d’être forte dans l’épreuve. Ibrahima Sy jouit d’une bonne réputation à Podor. Il est présenté comme un sage éclairé, un homme de valeur et de foi. « Pour le décès de mon fils, j’aurai incriminé le pouvoir et l’opposition. Tous ont été irresponsables. Les politiciens doivent cesser d’utiliser des jeunes innocents, dans leurs manifestations, c’est injuste que ces enfants paient pour leur pots cassés », martèle-il et puis la parenthèse se referme.
Chimère diop
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