Selon le leader de Pastef, « c’est maintenant qu’il faut avoir ce plan, des institutions pertinentes, un marché de travail adapté, des réformes ciblées, diagnostiquer les goulots d’étranglement du pays…., il nous faut être prêts bien avant 2024 ».
Qui plus, selon lui, « chaque fois que des intérêts occultes ont pu étouffer la révolution africaine, c’est parce que soit ce n’était pas suffisamment approprié par une masse critique ou alors, il y avait un manque de courage de ceux qui devraient porter ce combat. C’est beaucoup d’engagement, beaucoup de courage, pas seulement derrière les claviers, mais aussi sur le terrain. Il faut être prêt pour le combat, même physique s’il le faut. Il faut que chacun d’entre nous soit prêt pour le sacrifice que nous devons à ce pays et à notre continent ».
La première université des cadres de Pastef avait comme thème « Le numérique, un levier de développement endogène et durable ».
Libération
Qui plus, selon lui, « chaque fois que des intérêts occultes ont pu étouffer la révolution africaine, c’est parce que soit ce n’était pas suffisamment approprié par une masse critique ou alors, il y avait un manque de courage de ceux qui devraient porter ce combat. C’est beaucoup d’engagement, beaucoup de courage, pas seulement derrière les claviers, mais aussi sur le terrain. Il faut être prêt pour le combat, même physique s’il le faut. Il faut que chacun d’entre nous soit prêt pour le sacrifice que nous devons à ce pays et à notre continent ».
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