Le 3 ou le 10 mars prochain sont les deux dates suggérées par un groupe de vingt organisations de la société civile pour la tenue de l’élection présidentielle. Ces propositions font suite à une réflexion menée sur la faisabilité technique de l’événement.
La collaboration entre ces organisations de la société civile, axée sur la préservation de la paix, a conduit à l’identification de ces deux dates comme options pour la prochaine élection présidentielle. Moundiaye Cissé, porte-parole du groupe, affirme : « Le Conseil constitutionnel ayant exclu le 25 février, il est impératif de considérer d’autres dates. Nous estimons qu’il est réalisable d’organiser le scrutin le 3 ou le 10 mars, permettant ainsi une passation de service au plus tard le 2 avril ».
Selon le président de l’ONG 3 D, organiser l’élection présidentielle entre ces deux dates est techniquement réalisable. « D’un point de vue technique et matériel, nous avons confirmé la disponibilité du matériel électoral, les bulletins ayant déjà été imprimés et distribués dans les régions et auprès de la diaspora. Ainsi, nous pouvons effectivement procéder au scrutin le 3 ou le 10 mars, après consultation et concertation entre les organisations de la société civile », a-t-il précisé.
Cependant, la synergie des organisations de la société civile pour la préservation de la paix est d’avis qu’il est nécessaire d’entamer des discussions en vue de déterminer une date consensuelle pour l’élection.
Senenews
La collaboration entre ces organisations de la société civile, axée sur la préservation de la paix, a conduit à l’identification de ces deux dates comme options pour la prochaine élection présidentielle. Moundiaye Cissé, porte-parole du groupe, affirme : « Le Conseil constitutionnel ayant exclu le 25 février, il est impératif de considérer d’autres dates. Nous estimons qu’il est réalisable d’organiser le scrutin le 3 ou le 10 mars, permettant ainsi une passation de service au plus tard le 2 avril ».
Selon le président de l’ONG 3 D, organiser l’élection présidentielle entre ces deux dates est techniquement réalisable. « D’un point de vue technique et matériel, nous avons confirmé la disponibilité du matériel électoral, les bulletins ayant déjà été imprimés et distribués dans les régions et auprès de la diaspora. Ainsi, nous pouvons effectivement procéder au scrutin le 3 ou le 10 mars, après consultation et concertation entre les organisations de la société civile », a-t-il précisé.
Cependant, la synergie des organisations de la société civile pour la préservation de la paix est d’avis qu’il est nécessaire d’entamer des discussions en vue de déterminer une date consensuelle pour l’élection.
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