Présidentielle en France: Reçu à l'Élysée, Hamon n'évoque pas de soutien officiel
Benoît Hamon, candidat du Parti socialiste à l'élection présidentielle, a expliqué, jeudi 2 février, qu'il entendait se "tourner vers l'avenir", à l'issue de sa rencontre à l'Élysée avec François Hollande qui ne constituait pas selon lui un "passage de témoin".
Interrogé dans la cour de l'Élysée sur ses désaccords avec le chef de l'État sortant, dont il a combattu la politique depuis son départ du gouvernement en 2014, Benoît Hamon, sans évoquer un éventuel soutien de François Hollande, a répondu : "On a évidemment parlé de cela mais pour moi, ce qui est important, c'est de se tourner vers l'avenir."
Le président de la République, qui est resté discret durant la primaire de la gauche, ne participant pas au vote, a reçu son ancien ministre de l'Économie solidaire (2012-2014), puis éphémère ministre de l'Éducation (2014), pendant environ une heure en tête-à- tête dans son bureau, selon l'Élysée.
"Il n'y a pas de passage de témoin aujourd'hui. Il y a une élection présidentielle et un président qui préside jusqu'à l'élection présidentielle", a également déclaré Benoît Hamon qui avait "simplement la volonté […] d'échanger sur ce que seront les axes de ma campagne".
Interrogé dans la cour de l'Élysée sur ses désaccords avec le chef de l'État sortant, dont il a combattu la politique depuis son départ du gouvernement en 2014, Benoît Hamon, sans évoquer un éventuel soutien de François Hollande, a répondu : "On a évidemment parlé de cela mais pour moi, ce qui est important, c'est de se tourner vers l'avenir."
Le président de la République, qui est resté discret durant la primaire de la gauche, ne participant pas au vote, a reçu son ancien ministre de l'Économie solidaire (2012-2014), puis éphémère ministre de l'Éducation (2014), pendant environ une heure en tête-à- tête dans son bureau, selon l'Élysée.
"Il n'y a pas de passage de témoin aujourd'hui. Il y a une élection présidentielle et un président qui préside jusqu'à l'élection présidentielle", a également déclaré Benoît Hamon qui avait "simplement la volonté […] d'échanger sur ce que seront les axes de ma campagne".