‘’Ne me parlez pas de premier tour ou deuxième tour. Je vais tous les terrasser dès le premier tour’’, a-t-il indiqué dans un entretien paru dans le quotidien Le Pays au quotidien.
Abdoulaye Wade, 85 ans, est candidat à la présidentielle de février 2012, après avoir été élu en mars 2000 et réélu en février 2007.
Sa candidature est contestée par l’opposition et la société civile, qui invoquent un troisième mandat anticonstitutionnel.
M. Wade et ses partisans parlent d’un second mandat, invoquant l’impossibilité de la rétroactivité de la constitution de janvier 2001 après le référendum constitutionnel survenu après son élection en 2000.
Très sûr de sa victoire à la présidentielle de 2012, Me Wade affirme qu’il va ‘’coiffer au poteau’’ ses adversaires avec un score qui va rappeler celui de février 2007 où il avait été réélu 55,86% des voix exprimées.
Revenant sur la débâcle de son parti aux élections locales de mars 2009 avec la perte de localités importantes, le secrétaire général national du PDS fait savoir qu’il a tiré les enseignements.
‘’Avec le temps qu’est ce qui s’est passé ? Benno (unité de l’opposition) est devenu +tassaro+ (dispersion, en wolof). Ils sont en lambeaux et je puis vous assurer que nous aurons la majorité à l’Assemblée. Ils auront peut être 35%’’, avance Me Wade.
‘’Si ma candidature est invalidée (par le Conseil constitutionnel), je ne sourcillerai pas à aprtir, je me retirerai’’, a-t-il assuré toutefois. Une décision de la juridiction est attendue. ‘’Je peux m’orgueillir d’un bilan très éloquent.’’
P.-S.
BHC/SAB
Abdoulaye Wade, 85 ans, est candidat à la présidentielle de février 2012, après avoir été élu en mars 2000 et réélu en février 2007.
Sa candidature est contestée par l’opposition et la société civile, qui invoquent un troisième mandat anticonstitutionnel.
M. Wade et ses partisans parlent d’un second mandat, invoquant l’impossibilité de la rétroactivité de la constitution de janvier 2001 après le référendum constitutionnel survenu après son élection en 2000.
Très sûr de sa victoire à la présidentielle de 2012, Me Wade affirme qu’il va ‘’coiffer au poteau’’ ses adversaires avec un score qui va rappeler celui de février 2007 où il avait été réélu 55,86% des voix exprimées.
Revenant sur la débâcle de son parti aux élections locales de mars 2009 avec la perte de localités importantes, le secrétaire général national du PDS fait savoir qu’il a tiré les enseignements.
‘’Avec le temps qu’est ce qui s’est passé ? Benno (unité de l’opposition) est devenu +tassaro+ (dispersion, en wolof). Ils sont en lambeaux et je puis vous assurer que nous aurons la majorité à l’Assemblée. Ils auront peut être 35%’’, avance Me Wade.
‘’Si ma candidature est invalidée (par le Conseil constitutionnel), je ne sourcillerai pas à aprtir, je me retirerai’’, a-t-il assuré toutefois. Une décision de la juridiction est attendue. ‘’Je peux m’orgueillir d’un bilan très éloquent.’’
P.-S.
BHC/SAB
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