Selon Bruno Le Maire qui s’est adressé à la presse, « pour que les PME se développent, il faut un financement qui soit simple, pérenne et solide ». L’accompagnement du secteur privé en Afrique, selon lui, « doit passer par le financement de ces PME ». Voilà tout le sens, à l’en croire, du « caractère exceptionnel de ce financement de 2,5 milliards d’euros », soit plus de 1600 milliards FCFA, dont « 1 million d’euros en fonds propres et 1, 5 millions d’euros en dette et garantie ».
Ce programme qui représente selon le ministre français, une nouvelle manière de concevoir les relations entre la France et l’Afrique, et le Sénégal en particulier, sera mis en œuvre par l’Agence française de développement (AFD).
Toutefois Bruno Le Maire a appelé à cesser les critiques à l’encontre des grandes entreprises françaises, qui, a-t-il dit, « participent au développement du Sénégal », en créant notamment des emplois.
Il a également félicité le Sénégal pour son important bond qualitatif sur le plan économique, qui relève selon lui, plus d’un enthousiasme collectif que les dirigeants ont su créer, que de l’augmentation de sa croissance économique.
Ce programme qui représente selon le ministre français, une nouvelle manière de concevoir les relations entre la France et l’Afrique, et le Sénégal en particulier, sera mis en œuvre par l’Agence française de développement (AFD).
Toutefois Bruno Le Maire a appelé à cesser les critiques à l’encontre des grandes entreprises françaises, qui, a-t-il dit, « participent au développement du Sénégal », en créant notamment des emplois.
Il a également félicité le Sénégal pour son important bond qualitatif sur le plan économique, qui relève selon lui, plus d’un enthousiasme collectif que les dirigeants ont su créer, que de l’augmentation de sa croissance économique.