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Protéine et Dopage dans l’arène: "Domou Niaye", "Bulgarie" drogue des lutteurs

Le besoin de développer une force et un volume musculaire extrat ordinaire a toujours était la réelle préoccupation des lutteurs. Conscient que pour arriver au niveau de leur art et quintupler leur gains, il faut devenir un poids lourd pour décrocher 100 voire 129 millions pour un seul combat. Pour ce faire, nombre d'entre eux se tourne vers le dopage et la consommation de protéines.


Rédigé par leral.net le Lundi 14 Novembre 2011 à 11:12 | | 0 commentaire(s)|

Protéine et Dopage dans l’arène: "Domou Niaye", "Bulgarie" drogue des lutteurs
Le dopage permet à l’athlète de se surpasser, d'aller au delà de ses propres limites et sans ressentir la fatigue aussi vite que celui qui ne s'est pas dopé. "Cela a des conséquences néfastes pour leur santé dans le futur" souligne le doyen Thiam Hercule, moniteur de salle de gym. Il ajoute "Il y a des comprimés dénommés "bulgaries, ou "domou niaye" vendu dans le marché noir et en pharmacie. Une fois consommés, ces produits permettent de travailler sans ressentir de fatigue.

Concernant les protéines Thiam Hercule nous révèle que certains lutteurs allient la prise de dopage d'autre produits qui alimentent et nourrissent les muscles très vite qui ne sont rien d'autre que les protéines.

Selon Lissa Mbaye pharmacienne les lutteurs raffolent de protéine et de dopage:" tous les luteurs confirmés, en tout cas tous ceux qui sont connus et qui brasse des millions dans l'arène, raffolent de dopages et de protéines pour toujours avoir du poids, du volume musculaire pour bien paraître.(...), les plus prisés sont les comprimés, les gélules qui se consommes facilement.

C'est un lutteur en activité qui nous mettra le puce à l'oreil au cour d'une interview au lendemain de sa victoire. il évoquera le dopage sans s'en rendre compte, comme une pratique normale courante." J'ai traversé des moments très difficiles dans ma carrière, rencontré beaucoup de problèmes. Et, c'est dans ces moments qu'un grand champion m'a donné entre autre conseil de faire comme mes pairs, de ne plus refuser de prendre ces trucs". dans une grande écurie de la place, un homme parmi les responsables de l'encadrement de révèler: "vous savez, si un tel peine aujourd'hui à revenir dans la course et s'essouffle rapidement c'est par ce qu'il a mal utilisé le truc ( produit dopant sans le nommer).

Hormis ces produits pharmaceutiques ou pharmacopées locale, un autre phénomène est né: certains lutteurs fument du chavre indien et boivent de l'alcool avant de venir au stade. N'est ce pas une autre façon de se doper?