Quand Latif Coulibaly dénigre la presse sénégalaise

Ce latif, j'espere seulement que l'etat du senegal ne s'est pas basé sur ses ecrits pour inculper des senegalais. Il raconte des choses fausses, qui ressemblent à la verite mais qui sont des déductions. Demain il fera jour. Wassalam

Nous avons suivi l'emission, nulle part la presse n'a ete denigre.Comme nos pseudo journalistes sont limites, ils comprennent de travers.

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‘’EXPERTISE LOCALE’’ : HALTE A L’IMPOSTURE !

Bon nombres de Sénégalais sous l’emprise de la fibre patriotique avaient porté leurs choix sur les coaches locaux sous prétexte qu’ils ont fait les mêmes bancs que les ‘’Sorciers Blancs’’. Mais comment des gens qui n’arrivent même pas à faire qualifier un club Sénégalais en phase finale de la Champion’s league Africaine peuvent-ils gérer une équipe Nationale ?

Depuis bientôt 10 ans les clubs Sénégalais n’arrivent pas à atteindre la demi-finale de la Champion’s league Africaine pis ils sont éliminés lors des phases éliminatoires pendant ce temps les clubs maliens tels que le Djoliba tutoient les géants du foot Africain. Qu’ils sont forts nos coaches !

Mais leurs domaines de prédilection consistent à courir derrière les quotidiens sportifs ou les plateaux de télévision pour nous souler avec des bêtises. Ainsi vous constateriez dans les différentes radios ou télévisions de la place des soi-disant coaches qui lors des rencontres de l’équipe nationale sont présentés aux Sénégalais comme étant des experts. Ils animent les débats et discutent du choix de l’entraineur. Et c’est comme cela qu’ils sont propulsés au-devant de la scène.

Mais en réalité ils ne savent rien du football. Pour la grande majorité ils sont des professeurs d’éducation physique reconvertis en entraineur parce que leurs métiers ne payaient pas assez ou d’anciens internationaux qui pour échapper au chômage deviennent des entraineurs par circonstance. Ce qui explique en grande partie le niveau faible du championnat sénégalais. Chaque année vous entendez des mutations et ce sont les mêmes têtes qui entrainent les clubs Sénégalais mais à chaque fois ils changent de destination.

Et l’objectif est d’être champion du Sénégal pour être promu l’année suivante coach adjoint en équipe nationale. Une fois que le coach titulaire fait de mauvais résultats alors vous paraissez aux yeux des Sénégalais comme l’Homme de la situation sous prétexte que vous avez déjà fait vos preuves.

Comment un championnat aussi faible que celui du Sénégal peut-il constituer un baromètre pour choisir des coaches ? La fédération Sénégalaise de football doit revoir le critère de sélection de ses sois disant entraineurs. Les compétitions Africaines permettent de voir le vrai niveau de ses coaches. La CAF l’a si bien comprise qu’elle a retiré tout bonnement et simplement une des places qualitatives en Champions league Africaine qui par le passé était due au Sénégal.

Mais la faute revient aussi aux journalistes sportifs qui convoquent ces « entraineurs » en leur offrant une publicité gratuite. C’est ainsi qu’on voit des coaches de navétane à la télévision parce que Niarry tally a remporté les phases nationales ! Un peu de sérieux quand même chers journalistes. C’est par ces biais qu’ils se font un nom et deviennent pour les sénégalais des érudits. Oh que non !

Il y a même un célèbre journaliste qui anime une émission tous les week ends dans une radio de la place et qui constitue un de gros maux du football Sénégal. En effet ce journaliste est le plus grand historien du football Sénégal. Dans ce domaine il est le meilleur mais il faut reconnaitre qu’il comprenne tout du football sauf l’essentiel. Il a pour mauvaise habitude d’accuser à tort les arbitres lors des défaites de l’équipe nationale ou à transformer un échec cuisant à une faute de parcourt. Il faut qu’il arrête cette mesquinerie et dire vrai juste vrai, on ne lui demande ni plus ni moins. Et d’arrêter de caresser la vérité parce qu’il ne veut heurter personne.

Vous avez donc compris que les coaches Sénégalais ne sont pas les experts qu’ils prétendent être. Seul Souleymane Camara Gaucher a réussi à qualifier la JA en demi-finale de champion’s league Africaine mais depuis lors rien, nada, niente. Souleymane Camara Gaucher lui au moins a fait ses preuves mais malheureusement on ne l’entend jamais. Pourtant il est le meilleur car lui au moins a réussi à hisser le drapeau Sénégalais lors des joutes Africaines. Mais ce qu’on entend le plus ce sont des gens qui ont enchainé des défaites avec la JA comme Roger Mendy ou Moussa Ndaw qui ont fini de prouver tout leur « savoir-faire ».

Les coaches Sénégalais doivent arrêter cette mascarade et se mettre au travail avant de prétendre diriger notre équipe nationale.

Source: www.senegal60.com

Il a parfaitement raison il n'ya pas de journalistes qualifiés au Sénégal, ils sont tous des inccapables. Yel na yalla nassakhal sen ay pékhé dieum thi tivaouane ak tarikha mame cheikh thi barké borom tarikha bi abboul abbass Cheikh ahmad TIDJANI. Amen.

Vraiment j'ai eu pitie de ce Edouard Faye de journaliste lors de l'emission. Il nous a demontre que le gap qui separe Abdoul Latif et cette jeune generation est encore tres grand et qu'il ne sera pas referme de sitot.
Un conseil a ces pretendus journalist super stars: Reconnaissez en Abdoul Latif votre imam et khalif general, faites votre tarbiyyah aupres de lui pour beneficier de sa benediction.
Sinon....