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"Réduire le déficit sans Impôts: 483,5 milliards de FCfa d’économies possibles", Par Cheikh Sène, Economiste-Essayiste

L’examen des leviers identifiés conduit à un impact budgétaire central estimé à 483.5 milliards FCFA/an, avec une fourchette prudente de 221.6 à 997.5 milliards FCFA/an. Ce montant équivaut à près de 8,4 % du budget national et permettrait de réduire de manière significative notre déficit budgétaire.


Rédigé par leral.net le Dimanche 10 Août 2025 à 20:55 | | 0 commentaire(s)|

Les quatre mesures les plus contributives représentent environ 70 % de l’effet total

"Réduire le déficit sans Impôts: 483,5 milliards de FCfa d’économies possibles", Par Cheikh Sène, Economiste-Essayiste

"Réduire le déficit sans Impôts: 483,5 milliards de FCfa d’économies possibles", Par Cheikh Sène, Economiste-Essayiste

"Réduire le déficit sans Impôts: 483,5 milliards de FCfa d’économies possibles", Par Cheikh Sène, Economiste-Essayiste

"Réduire le déficit sans Impôts: 483,5 milliards de FCfa d’économies possibles", Par Cheikh Sène, Economiste-Essayiste

"Réduire le déficit sans Impôts: 483,5 milliards de FCfa d’économies possibles", Par Cheikh Sène, Economiste-Essayiste

 Contribution accrue des très hauts revenus / ISF (progressivité) 120.0 Mds (24.8 %)

 +10 pts sur le taux effectif d’IS pour entreprises qui font 2 Mds de résultat : 120 Md (24.8%)

 Suppression ou fusion agences publiques sans utilité 60 Mds (12.4 %)

 Cibler les bourses universitaires (fin à la généralisation) 40 Mds (8.3 %)

En économie, maîtriser la dépense, c’est libérer des ressources. Moins de gaspillage, c’est plus d’efficacité ; moins de charges inutiles, c’est plus de moyens pour l’essentiel.

Ces économies permettent ;

 Un allègement progressif de la pression fiscale sur les ménages et les entreprises,
 Un financement renforcé des secteurs vitaux comme l’éducation, la santé, infrastructures etc.
 Une plus grande capacité à investir dans l’emploi et la compétitivité nationale.

En agissant avec courage et rigueur, nous pouvons passer d’une logique de survie budgétaire à une logique de prospérité durable. Il ne s’agit pas seulement d’économiser, mais de repenser la gestion publique pour servir davantage le peuple sénégalais. Maîtriser nos dépenses aujourd’hui, c’est investir dans l’avenir de notre Nation.


Cheikh SENE,

Économiste, Enseignant, Essayiste







Ousseynou Wade