Lorsqu’ils l’ont ouvert, Yerimpost est en mesure d’écrire qu’ils n’y ont trouvé, à leur grande surprise, que deux pièces: une lettre de Sonko datée du 24 juin 2019 et un exemplaire de son ouvrage Pétrole et gaz au Sénégal: Chronique d’une spoliation, pamphlet paru en mai 2017.
Dans sa lettre à l’écriture fine, longue d’une bonne page, Ousmane Sonko a expliqué les raisons pour lesquelles il a décidé de ne pas déférer à la convocation de la DIC. Le leader de Pastef a évoqué un entretien téléphonique qu’il aurait eu avec le chef des enquêteurs au cours duquel ce dernier lui aurait dit qu’il n’est pas convoqué mais « invité » à apporter des éléments de nature à contribuer à la manifestation de la vérité. Assurant qu’il se serait présenté s’il avait été convoqué, Sonko a poliment décliné « l’invitation ».
Poursuivant sa lettre écrite dans des termes en quelques endroits corrosifs, Ousmane Sonko a ajouté qu’il ne peut pas se déplacer pour les besoins d’une enquête diligentée par un procureur dénué de sérieux dans sa démarche, qui fait dans le dilatoire, et ayant opté pour une posture à décharge qui transparaîtrait dans les propos tenus lors de sa conférence de presse du mercredi 12 juin 2019.
Fort de ces arguments, Sonko a terminé par dire qu’il attend une enquête sérieuse, diligentée par un parquet impartial, pour distraire son temps à y participer.
En conclusion, il a indiqué aux enquêteurs qu’il tenait à leur disposition l’exemplaire de son livre joint au courrier. Non sans indiquer qu’il y a décrit la spoliation du Sénégal orchestrée par, dit-il, Macky Sall, Aliou Sall, Aly Ngouille Ndiaye, et des sociétés étrangères.
Après réception du colis, les enquêteurs de la DIC sont restés sur leur faim. Au vu du positionnement d’Ousmane Sonko dans le débat autour de la gestion du pétrole et du gaz, ils s’attendaient à recevoir de lui des documents ou éléments de nature à définitivement faire éclater la vérité dans ce scandale qui tient le Sénégal en haleine depuis plusieurs semaines.
Cheikh Yérim Seck yerim Post
Dans sa lettre à l’écriture fine, longue d’une bonne page, Ousmane Sonko a expliqué les raisons pour lesquelles il a décidé de ne pas déférer à la convocation de la DIC. Le leader de Pastef a évoqué un entretien téléphonique qu’il aurait eu avec le chef des enquêteurs au cours duquel ce dernier lui aurait dit qu’il n’est pas convoqué mais « invité » à apporter des éléments de nature à contribuer à la manifestation de la vérité. Assurant qu’il se serait présenté s’il avait été convoqué, Sonko a poliment décliné « l’invitation ».
Poursuivant sa lettre écrite dans des termes en quelques endroits corrosifs, Ousmane Sonko a ajouté qu’il ne peut pas se déplacer pour les besoins d’une enquête diligentée par un procureur dénué de sérieux dans sa démarche, qui fait dans le dilatoire, et ayant opté pour une posture à décharge qui transparaîtrait dans les propos tenus lors de sa conférence de presse du mercredi 12 juin 2019.
Fort de ces arguments, Sonko a terminé par dire qu’il attend une enquête sérieuse, diligentée par un parquet impartial, pour distraire son temps à y participer.
En conclusion, il a indiqué aux enquêteurs qu’il tenait à leur disposition l’exemplaire de son livre joint au courrier. Non sans indiquer qu’il y a décrit la spoliation du Sénégal orchestrée par, dit-il, Macky Sall, Aliou Sall, Aly Ngouille Ndiaye, et des sociétés étrangères.
Après réception du colis, les enquêteurs de la DIC sont restés sur leur faim. Au vu du positionnement d’Ousmane Sonko dans le débat autour de la gestion du pétrole et du gaz, ils s’attendaient à recevoir de lui des documents ou éléments de nature à définitivement faire éclater la vérité dans ce scandale qui tient le Sénégal en haleine depuis plusieurs semaines.
Cheikh Yérim Seck yerim Post