La réponse à cette question ne saurait être tranchée parce qui si d’un point de vue statistique la balance penche vers l’affirmative, d’un autre côté, en revanche, les contextes sont différents, tout comme les acteurs sur le terrain et cela nous commande de nuancer notre jugement.
D’abord, chapeau bas à Hugo Broos, l’entraîneur du Cameroun qui a reconnu en toute sportivité, que « son équipe n’avait pas les moyens de rivaliser avec le Sénégal dans le jeu ».
De quoi mettre du baume aux cœurs des supporteurs sénégalais- même si seule la victoire est belle-, qui, unanimement, reconnaissent que les « Lions de la Téranga » sont allés jusqu’au bout de leurs forces. Et cela est la preuve que cette génération a un petit quelque chose qui nous rappelle la rage de vaincre, la grinta de la belle équipe du Sénégal des années 2000.
Au titre des enseignements de cette campagne CAN 2017, c’est déjà, parmi les faiblesses connues de cette équipe encore en gestation, l’inefficacité offensive qui ne peut que coûter cher dans le cadre de matchs serrés et d’un certain niveau.
Disputé depuis ses débuts à la tête de l’équipe nationale du Sénégal pour ses « tâtonnements » et ses difficultés à se trouver un groupe de performance, coach Aliou Cissé a apporté des éléments de réponse. Aujourd’hui, au chapitre « des certitudes » de cette CAN 2017, on ne peut nier qu’« un groupe est né » !
Avec les échéances des joutes qualitatives pour la Coupe du Monde 2018 qui sont déjà là, devons-nous, une fois de plus, jeter le bébé avec l’eau du bain ? Le temps des politiques n’étant pas celui des techniciens, devrons-nous vivre encore un énième changement d’entraîneur ?
De notre modeste point de vue, la réponse coule de source: laissons coach Aliou Cissé continuer le travail et ayons la critique constructive !
Leral.net
D’abord, chapeau bas à Hugo Broos, l’entraîneur du Cameroun qui a reconnu en toute sportivité, que « son équipe n’avait pas les moyens de rivaliser avec le Sénégal dans le jeu ».
De quoi mettre du baume aux cœurs des supporteurs sénégalais- même si seule la victoire est belle-, qui, unanimement, reconnaissent que les « Lions de la Téranga » sont allés jusqu’au bout de leurs forces. Et cela est la preuve que cette génération a un petit quelque chose qui nous rappelle la rage de vaincre, la grinta de la belle équipe du Sénégal des années 2000.
Au titre des enseignements de cette campagne CAN 2017, c’est déjà, parmi les faiblesses connues de cette équipe encore en gestation, l’inefficacité offensive qui ne peut que coûter cher dans le cadre de matchs serrés et d’un certain niveau.
Disputé depuis ses débuts à la tête de l’équipe nationale du Sénégal pour ses « tâtonnements » et ses difficultés à se trouver un groupe de performance, coach Aliou Cissé a apporté des éléments de réponse. Aujourd’hui, au chapitre « des certitudes » de cette CAN 2017, on ne peut nier qu’« un groupe est né » !
Avec les échéances des joutes qualitatives pour la Coupe du Monde 2018 qui sont déjà là, devons-nous, une fois de plus, jeter le bébé avec l’eau du bain ? Le temps des politiques n’étant pas celui des techniciens, devrons-nous vivre encore un énième changement d’entraîneur ?
De notre modeste point de vue, la réponse coule de source: laissons coach Aliou Cissé continuer le travail et ayons la critique constructive !
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