Seydou, félicitations ! Quelle a été la clé de la réussite malienne découlant de la qualification pour les quarts de finale ?
La solidarité. On a tout donné. Et on a eu la chance de marquer ce but par Samassa. Toute l’équipe a bien joué. On a été très solidaires et nous allons continuer sur cette lancée.
Comment était le groupe après le but matinal inscrit par les Congolais ?
Ça été très dur de prendre ce but à un pareil moment (NDLR : 3’ Dieumerci Mbokani sur penalty). Après ce but, on s’est parlé sinon les choses allaient être très compliquées pour nous. On a cru à nos forces. L’essentiel pour nous était de marquer un but et ne pas encaisser. Je pense que les deux équipes ont fait un grand match. D’ailleurs, c’est la raison pour laquelle il y a eu ce nul. Le fait d’avoir gagné contre le Niger nous a mis dans une position favorable. On est très contents. Je suis sûr qu’à Bamako et partout au Mali, les gens sont contents. On essaye de gagner nos matches et procurer de la joie dans le cœur des supporters.
Les Aigles croiseront en quarts de finale les Bafana Bafana d’Afrique du Sud. Avez-vous la peur au ventre de jouer le pays organisateur ?
Non. A ce niveau de la compétition, il n’y a pas de choix à faire. Ce sont les 8 meilleures équipes qui se retrouvent. Chaque équipe veut continuer l’aventure. Vous savez, nous avons l’habitude de jouer le pays organisateur. Rappelez-vous, notre génération va rencontrer pour la 3e fois un pays organisateur (NDLR : 2010 contre l’Angola (4-4) ; 2012 aux dépens du Gabon (1-1 après prolongations puis 5-4 aux tirs au but pour le Mali et 2013 face à l’Afrique du Sud). Comme le dit le proverbe : «Jamais deux sans trois». Ce match sera spécial pour nous. En 2002, nous avons éliminé les Sud-Africains en quarts de finale à Kayes. J’espère que la chance va nous sourire de nouveau.
La solidarité. On a tout donné. Et on a eu la chance de marquer ce but par Samassa. Toute l’équipe a bien joué. On a été très solidaires et nous allons continuer sur cette lancée.
Comment était le groupe après le but matinal inscrit par les Congolais ?
Ça été très dur de prendre ce but à un pareil moment (NDLR : 3’ Dieumerci Mbokani sur penalty). Après ce but, on s’est parlé sinon les choses allaient être très compliquées pour nous. On a cru à nos forces. L’essentiel pour nous était de marquer un but et ne pas encaisser. Je pense que les deux équipes ont fait un grand match. D’ailleurs, c’est la raison pour laquelle il y a eu ce nul. Le fait d’avoir gagné contre le Niger nous a mis dans une position favorable. On est très contents. Je suis sûr qu’à Bamako et partout au Mali, les gens sont contents. On essaye de gagner nos matches et procurer de la joie dans le cœur des supporters.
Les Aigles croiseront en quarts de finale les Bafana Bafana d’Afrique du Sud. Avez-vous la peur au ventre de jouer le pays organisateur ?
Non. A ce niveau de la compétition, il n’y a pas de choix à faire. Ce sont les 8 meilleures équipes qui se retrouvent. Chaque équipe veut continuer l’aventure. Vous savez, nous avons l’habitude de jouer le pays organisateur. Rappelez-vous, notre génération va rencontrer pour la 3e fois un pays organisateur (NDLR : 2010 contre l’Angola (4-4) ; 2012 aux dépens du Gabon (1-1 après prolongations puis 5-4 aux tirs au but pour le Mali et 2013 face à l’Afrique du Sud). Comme le dit le proverbe : «Jamais deux sans trois». Ce match sera spécial pour nous. En 2002, nous avons éliminé les Sud-Africains en quarts de finale à Kayes. J’espère que la chance va nous sourire de nouveau.