Au Soudan, le président déchu Omar el-Béchir a été déféré dimanche 16 juin au parquet en charge des affaires de corruption à Khartoum. Il n'avait pas fait d'apparition publique depuis sa destitution, le 11 avril.
Extrait de sa prison pour l'occasion, Omar el-Béchir est apparu dimanche devant les locaux du parquet, vêtu d'une traditionnelle jellaba blanche, turban autour de la tête, escorté par un important convoi militaire.
L'Agence France-Presse évoque « plusieurs véhicules » et des « membres des forces de sécurité lourdement armés ».
Une fois sur place, le dirigeant déchu a été « informé des accusations qui pèsent contre lui » : corruption, possession illégale de devises étrangères et réception illégale de cadeaux, explique Aladdin Dafallah, un responsable du parquet, cité par l'AFP.
Omar el-Béchir n'avait pas été vu en public depuis son éviction du pouvoir, le 11 avril. Cette comparution n'est que la première étape d'un long processus judiciaire.
Extrait de sa prison pour l'occasion, Omar el-Béchir est apparu dimanche devant les locaux du parquet, vêtu d'une traditionnelle jellaba blanche, turban autour de la tête, escorté par un important convoi militaire.
L'Agence France-Presse évoque « plusieurs véhicules » et des « membres des forces de sécurité lourdement armés ».
Une fois sur place, le dirigeant déchu a été « informé des accusations qui pèsent contre lui » : corruption, possession illégale de devises étrangères et réception illégale de cadeaux, explique Aladdin Dafallah, un responsable du parquet, cité par l'AFP.
Omar el-Béchir n'avait pas été vu en public depuis son éviction du pouvoir, le 11 avril. Cette comparution n'est que la première étape d'un long processus judiciaire.