« Nous prenons à témoin l’opinion nationale et toute la communauté Sanaroise. Abdoul Kader Johnson, élève-adjudant en formation qui avait réussi au concours d’entrée à l’Ecole nationale de la police, a rendu l’âme à l’hôpital Principal de Dakar, quatre jours après avoir entamé sa formation », ont rappelé ses camarades.
Ils soutiennent qu’après avoir pratiqué secrètement une autopsie sur le corps et sans l’aval des parents du défunt, la Police nationale s’est opposée à une autopsie officielle, à la demande des parents du défunt et voudrait que l’enterrement du corps soit diligenté.
Selon ses camarades, « une pareille attitude expéditive sans que les circonstances réelles de la mort ne soient constatées par voie autorisée, caractérise une volonté manifeste de la part des éléments de la police nationale d’étouffer l’affaire ».
Ce qui, selon eux, est « inadmissible ». Ils estiment que « le dernier hommage à rendre à Abdoul Kader Johnson, étudiant à qui l’UGB doit beaucoup, dépasse le cadre des prières pour le repos de son âme. Il faut que les circonstances de sa mort soient élucidées. Ils nous le doivent, à nous ses proches. Ils le lui doivent », déclarent-ils.
Ils soutiennent qu’après avoir pratiqué secrètement une autopsie sur le corps et sans l’aval des parents du défunt, la Police nationale s’est opposée à une autopsie officielle, à la demande des parents du défunt et voudrait que l’enterrement du corps soit diligenté.
Selon ses camarades, « une pareille attitude expéditive sans que les circonstances réelles de la mort ne soient constatées par voie autorisée, caractérise une volonté manifeste de la part des éléments de la police nationale d’étouffer l’affaire ».
Ce qui, selon eux, est « inadmissible ». Ils estiment que « le dernier hommage à rendre à Abdoul Kader Johnson, étudiant à qui l’UGB doit beaucoup, dépasse le cadre des prières pour le repos de son âme. Il faut que les circonstances de sa mort soient élucidées. Ils nous le doivent, à nous ses proches. Ils le lui doivent », déclarent-ils.