Le Syndicat des professionnels de l’information et de la communication sociale (Synpics) n’a pas apprécié positivement la stratégie du ministère de la Santé et de l’Action sociale, consistant à faire le point de la situation de la pandémie, à travers une déclaration de presse, sans interaction.
A travers un communiqué, le secrétaire général dudit syndicat, Bamba Kassé, invite le ministre à changer le format des points de situation. « Regrouper des journalistes et cameramen dans une salle tous les jours pour une dizaine de minutes, pour faire le point, ne nous semble plus pertinent. L’exercice en lui-même, dans un contexte où les regroupements sont interdits, nous semble risqué », avertit le syndicat.
A ce titre, sans préjudice des mesures à caractère sanitaire qui est, selon lui, du ressort exclusif du ministère de la Santé, le Synpics souhaite, par ailleurs, que « les points de situation se fassent via les technologies de l’information (live facebook, WhatsApp, youtube) et que pour les télévisions que ce soit la chaîne publique seule qui soit appelée à couvrir et à partager les images sans logo aux autres chaînes de TV ».
«Mise en place d’un point focal média»
L’organisation syndicale des professionnels des médias appelle, en outre, le ministère de la Santé, à « multiplier les points de situation en cas de survenance et de confirmation de nouveaux cas; ou, le cas échéant, mettre en place un dispositif d’alerte des médias qui renseigne à temps de l’évolution de la situation en baisse ou en hausse ».
Aussi, ont réclamé les techniciens des médias dans le même document, la « mise en place d’un point focal média, à charge de confirmer ou d’infirmer toute information sur l’évolution de la maladie dans l’espace national ».
En plus de ces mesures, le Synpics, en rapport avec la Convention des jeunes reporters du Sénégal, n’a pas manqué de demander aux services d’Abdoulaye Dipuf Sarr, de « prévoir un cadre d’interaction avec les journalistes pour clarifier certains aspects liés à la pandémie et à la stratégie de riposte mis en place par l’Etat du Sénégal ».
A travers un communiqué, le secrétaire général dudit syndicat, Bamba Kassé, invite le ministre à changer le format des points de situation. « Regrouper des journalistes et cameramen dans une salle tous les jours pour une dizaine de minutes, pour faire le point, ne nous semble plus pertinent. L’exercice en lui-même, dans un contexte où les regroupements sont interdits, nous semble risqué », avertit le syndicat.
A ce titre, sans préjudice des mesures à caractère sanitaire qui est, selon lui, du ressort exclusif du ministère de la Santé, le Synpics souhaite, par ailleurs, que « les points de situation se fassent via les technologies de l’information (live facebook, WhatsApp, youtube) et que pour les télévisions que ce soit la chaîne publique seule qui soit appelée à couvrir et à partager les images sans logo aux autres chaînes de TV ».
«Mise en place d’un point focal média»
L’organisation syndicale des professionnels des médias appelle, en outre, le ministère de la Santé, à « multiplier les points de situation en cas de survenance et de confirmation de nouveaux cas; ou, le cas échéant, mettre en place un dispositif d’alerte des médias qui renseigne à temps de l’évolution de la situation en baisse ou en hausse ».
Aussi, ont réclamé les techniciens des médias dans le même document, la « mise en place d’un point focal média, à charge de confirmer ou d’infirmer toute information sur l’évolution de la maladie dans l’espace national ».
En plus de ces mesures, le Synpics, en rapport avec la Convention des jeunes reporters du Sénégal, n’a pas manqué de demander aux services d’Abdoulaye Dipuf Sarr, de « prévoir un cadre d’interaction avec les journalistes pour clarifier certains aspects liés à la pandémie et à la stratégie de riposte mis en place par l’Etat du Sénégal ».
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