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Tanor Dieng à propos de la situation du Parti Socialiste : « On a mal, mais on trouvera une solution »

Ousmane Tanor Dieng est largement revenu sur les difficultés auxquelles est confrontée sa collectivité locale. Le maire de Nguiniéne s’est aussi prononcé sur la crise que traverse son parti. Se montrant rassurant, il annonce que tout va rentrer dans l’ordre. C’était lors de la finale de la coupe communale de Nguéniéne.


Rédigé par leral.net le Mercredi 4 Janvier 2017 à 10:18 | | 0 commentaire(s)|

« Le Parti Socialiste va bien. Comme tout grand parti, il y a toujours des problèmes et des divergences qu’il faut aplanir. Nous avons l’habitude de vivre pareille situation. On a mal, mais on trouvera une solution », a fait savoir M. Dieng.

Sur la question phare du candidat à l’élection présidentielle, Ousmane Tanor Dieng est stricte en ce propos. Par ces dires : « Nous attendons que quelqu’un vienne au niveau de nos instances et nous dise voilà ce qu’il veut faire. En ce moment-là, on prendra les décisions appropriées ». Et il ajoute : « Nous, nous méfions des déclarations qui sont prêtées aux uns et aux autres à travers les médias».

"Chaque fois que je viens à Nguéniéne où j’ai fait mes humanités et appris à affronter la vie, c’est un retour aux sources. Ici, je me sens chez moi. Je connais tout le monde et tout le monde me connait. Les anciens et notables du village ont toujours veillé sur moi. Ils m’ont vu grandir et ont participé à mon éducation. C’est en quelques sortes une fierté pour eux de me revoir toujours », renseigne le secrétaire général du parti socialiste, Ousmane Tanor Dieng.

Lui, qui a procédé à des remises de dons et fournitures scolaires aux populations de Guéniéne. Et estime que pour phase, « ceux sont les enseignants qui nous font part de leurs besoins et nous avons fait de notre mieux pour satisfaire le maximum possible leur souhait. Nous avons investi entre 11 et 12 millions, ce qui constitue une somme très importante. Même si les enseignants sont très heureux des efforts que nous faisons, il y reste quand même d’autres efforts à accomplir, d’où la nécessité de construire un autre Cem, parce que les sont à 80 voire 85 par salle de classe ».

Thierno Malick Ndiaye avec l’As

rédaction