Et cela, explique-t-il sur les ondes de la Rfm, « au risque de se voir appliquer la réciprocité, à moins qu’il y ait des arrangements entre les deux pays ». Outre cet aspect purement juridique, il invoque l’aspect économique. « Et sur le plan économique, la décision gouvernementale peut faire disparaitre des avantages comparatifs », avant de laisser sous-entendre que les travailleurs de la Sonatel ont raison sur le gouvernement. Sur la base de ladite convention, il rappelle le véto de la Côte d’Ivoire qui avait, une fois, refusé de collecter l’argent pour le Sénégal.
L’ingénieur qui a, d’ailleurs, paraphé pour le compte du Sénégal, la Convention de Malbourne pense déjà que les taxes déjà appliquées sur les communications avoisinent 40% semblent déjà être un peu de trop.
En tout cas, pour marquer leur opposition à ce projet de l’Etat, les travailleurs de la Sonatel ont commencé à dérouler leur plan d’action depuis le mercredi 14 courant en instaurant « les mercredis noirs ou mercredis de la honte ». Ils promettent une marche nationale, le mercredi prochain.
Ferloo.com
L’ingénieur qui a, d’ailleurs, paraphé pour le compte du Sénégal, la Convention de Malbourne pense déjà que les taxes déjà appliquées sur les communications avoisinent 40% semblent déjà être un peu de trop.
En tout cas, pour marquer leur opposition à ce projet de l’Etat, les travailleurs de la Sonatel ont commencé à dérouler leur plan d’action depuis le mercredi 14 courant en instaurant « les mercredis noirs ou mercredis de la honte ». Ils promettent une marche nationale, le mercredi prochain.
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