A la fin de la conférence, Lamouchi a confisqué le magnétophone du journaliste. Et c’est lorsque le confrère est venu recupérer son appareil que les esprits se sont échauffés. Il a fallu l’intervention de plusieurs personnes pour mettre fin à l’altercation entre les deux hommes. Mais qu’a pu faire d’aussi grave le reporter de Nord-Sud au sélectionneur des Eléphants ? «Il refuse de me saluer», a répondu le technicien bagarreur. Incroyable ! Cette attitude de Sabri Lamouchi est inacceptable à quelques heures seulement d’un match crucial pour son équipe. La veille déjà, c’est le manager général des Eléphants, Eric Monnet qui s’était mal comporté en menaçant verbalement un journaliste de Soir Info.
Empoignade verbale. Justement, un autre confrère de la presse internationale indiquait une empoignade verbale entre Emmanuel Eboué et quelques internationaux nigérians. «Nous n’avons pas vent d’un tel précédent et nous n’en avons pas fait cas. Le plus important, c’est le match de dimanche et rien d’autre. Tout ce qui se passe autour ne nous regarde pas. Nous devons tout faire pour gagner notre match et c’est pour cela que nous nous préparons», a tenté de dédramatiser Ya Konan Didier.
Rififi aussi chez les Etalons. Malgré leur qualification pour les quarts de finale de la Can, une première depuis quinze ans, l’atmosphère au sein des Etalons semble viciée. Une partie de l’équipe et des supporters n’apprécient pas la mise à l’écart de Moumouni Dagano, au profit de Aristide Bancé. Ces contestataires mettent en avant les mauvaises prestations de l’attaquant d’Ausbourg et demandent le retour rapide du capitaine Dagano sur le front de l’attaque. Déjà privé de son canonnier Alain Traoré, le Burkina Faso devait se faire l’économie de cette polémique interne.
Avec Sport-ivoire
Empoignade verbale. Justement, un autre confrère de la presse internationale indiquait une empoignade verbale entre Emmanuel Eboué et quelques internationaux nigérians. «Nous n’avons pas vent d’un tel précédent et nous n’en avons pas fait cas. Le plus important, c’est le match de dimanche et rien d’autre. Tout ce qui se passe autour ne nous regarde pas. Nous devons tout faire pour gagner notre match et c’est pour cela que nous nous préparons», a tenté de dédramatiser Ya Konan Didier.
Rififi aussi chez les Etalons. Malgré leur qualification pour les quarts de finale de la Can, une première depuis quinze ans, l’atmosphère au sein des Etalons semble viciée. Une partie de l’équipe et des supporters n’apprécient pas la mise à l’écart de Moumouni Dagano, au profit de Aristide Bancé. Ces contestataires mettent en avant les mauvaises prestations de l’attaquant d’Ausbourg et demandent le retour rapide du capitaine Dagano sur le front de l’attaque. Déjà privé de son canonnier Alain Traoré, le Burkina Faso devait se faire l’économie de cette polémique interne.
Avec Sport-ivoire