Tout en exigeant des autorités, dont principalement le Recteur et le ministre de l’Enseignement supérieur, «le règlement diligent et définitif de cette crise», le syndicat exprime sa solidarité à ses camarades de l’enseignement supérieur.
D’ailleurs, il se dit prêt «au besoin, à d’autres formes concrètes d’action, pour l’expression d’une solidarité davantage agissante».
Le Sudes, qui condamne ainsi «cette violence gratuite exercée contre des enseignants en lutte pacifique au sein de l’Ucad, tient le Recteur pour responsable de cet état de fait déplorable et de tous les possibles développements ultérieurs».
En effet, souligne ledit syndicat, «force est de reconnaître que le Recteur s’est installé dans le dilatoire et le laxisme, dans la gestion de cette crise qui perdure depuis 8 mois».
Le Sudes déplore aussi le «grave préjudice» que cette gestion «porte à l’image d’une institution de formation, exclusivement destinée à accueillir des étudiants étrangers».
Le Quotidien
D’ailleurs, il se dit prêt «au besoin, à d’autres formes concrètes d’action, pour l’expression d’une solidarité davantage agissante».
Le Sudes, qui condamne ainsi «cette violence gratuite exercée contre des enseignants en lutte pacifique au sein de l’Ucad, tient le Recteur pour responsable de cet état de fait déplorable et de tous les possibles développements ultérieurs».
En effet, souligne ledit syndicat, «force est de reconnaître que le Recteur s’est installé dans le dilatoire et le laxisme, dans la gestion de cette crise qui perdure depuis 8 mois».
Le Sudes déplore aussi le «grave préjudice» que cette gestion «porte à l’image d’une institution de formation, exclusivement destinée à accueillir des étudiants étrangers».
Le Quotidien