Omar Obaca, un pseudonyme, a fait irruption dans la campagne présidentielle avec des affiches géantes placardées dans la ville de Buenos Aires "Votez noir! Votez Obaca" et une série de vidéos partagées sur YouTube, visionnées par plus d'une centaine de milliers d'Argentins.
"Je suis Omar Obaca et je vais être le premier président noir des Argentins", se présente l'humoriste dans l'une de ces vidéos. Ce personnage, incarné par un acteur, fait en réalité partie d'une campagne publicitaire ayant pour but de promouvoir le lancement d'une web-tv à Buenos Aires.
Le candidat fictif s'arme de propositions loufoques qu'il décline dans une série de courtes vidéos pour se moquer de la politique : "Votez pour moi et je vous donne mes identifiants Netflix", promet-il. Un sourire populiste collé aux lèvres, Omar Obaca propose de remplacer la TVA par la Taxe Virile Argentine et de rembourser la dette argentine, sujet de crispation nationale, avec des bonbons. Il prétend connaître le président américain et assure même être à l'origine de sa rencontre avec Michelle Obama : "Les gens sont surpris mais oui, nous nous connaissons. Il étudiait les sciences politiques, il était en licence et moi j'étais assistant... à la cafétéria. Je lui servais le petit déjeuner et on parlait d'économie et de filles", a-t-il déclaré au quotidien Clarin.
7sur.be
"Je suis Omar Obaca et je vais être le premier président noir des Argentins", se présente l'humoriste dans l'une de ces vidéos. Ce personnage, incarné par un acteur, fait en réalité partie d'une campagne publicitaire ayant pour but de promouvoir le lancement d'une web-tv à Buenos Aires.
Le candidat fictif s'arme de propositions loufoques qu'il décline dans une série de courtes vidéos pour se moquer de la politique : "Votez pour moi et je vous donne mes identifiants Netflix", promet-il. Un sourire populiste collé aux lèvres, Omar Obaca propose de remplacer la TVA par la Taxe Virile Argentine et de rembourser la dette argentine, sujet de crispation nationale, avec des bonbons. Il prétend connaître le président américain et assure même être à l'origine de sa rencontre avec Michelle Obama : "Les gens sont surpris mais oui, nous nous connaissons. Il étudiait les sciences politiques, il était en licence et moi j'étais assistant... à la cafétéria. Je lui servais le petit déjeuner et on parlait d'économie et de filles", a-t-il déclaré au quotidien Clarin.
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