La mutuelle d’épargne, appelée Mectrans, société proche d’Aftu et de Cetud est au cœur de cette nébuleuse affaire de contrefaçon, entrainant de multiples assignations au DG de Transpay, Mouhamadou Moustapha Ndiaye. Mectrans est l’une des mutuelles qui offrent des prêts aux transporteurs. Ladite entreprise, dirigée par Mamadou Kanté, accuse-t-il, se trouve derrière ces assignataires, visant à l’éliminer.
Papiers en main, Moustapha Fall expose des documents, illustrant les manœuvres d’un ex-employé, Samba Sow. Ce dernier, révèle-t-il, travaillait à ses débuts dans sa société.
Au mois de novembre dernier, il a signalé le nébuleux dans cette affaire à Gora Khouma, responsable syndical sur l’utilisation de sa solution et de ses machines par les taxis vert-blanc. Ces derniers, disent recevoir leurs machines de Mectrans, une entité non habilitée et qui a volé sa solution. Certains Gie contactés disent n’être pas au courant de ses assignations, dont il fait l’objet. Sous ce registre, précise-t-il, le Cetud a fui ses responsabilités.
Et présentement, las de payer des honoraires à des avocats, il demande aux autorités judiciaires d’agir pour empêcher la faillite de son entreprise qui emploie plus de 40 personnes.
N’empêche, il décide d’ester en justice les acteurs de cette pratique destructrice afin de freiner la tentative de liquidation de son entreprise.
Papiers en main, Moustapha Fall expose des documents, illustrant les manœuvres d’un ex-employé, Samba Sow. Ce dernier, révèle-t-il, travaillait à ses débuts dans sa société.
Au mois de novembre dernier, il a signalé le nébuleux dans cette affaire à Gora Khouma, responsable syndical sur l’utilisation de sa solution et de ses machines par les taxis vert-blanc. Ces derniers, disent recevoir leurs machines de Mectrans, une entité non habilitée et qui a volé sa solution. Certains Gie contactés disent n’être pas au courant de ses assignations, dont il fait l’objet. Sous ce registre, précise-t-il, le Cetud a fui ses responsabilités.
Et présentement, las de payer des honoraires à des avocats, il demande aux autorités judiciaires d’agir pour empêcher la faillite de son entreprise qui emploie plus de 40 personnes.
N’empêche, il décide d’ester en justice les acteurs de cette pratique destructrice afin de freiner la tentative de liquidation de son entreprise.
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