Venu présider, hier, la clôture du séminaire international sur la petite enfance que Dakar a abrité du 12 au 14 décembre 2018, le Premier ministre, Mahammed Boun Abdallah Dionne, en a profité pour inviter les collectivités territoriales à s’impliquer davantage dans la prise en charge des tout-petits. « Vous conviendrez avec moi que la formation du capital humain reste une dimension fondamentale pour garantir une relève intergénérationnelle de qualité et l’émergence dans nos pays en quête perpétuelle de performances et de progrès », a souligné le chef du gouvernement sénégalais devant le parterre d’invités venus prendre part à cette rencontre internationale qui a vu la participation du Bénin, du Maroc et de la France aux côtés du Sénégal.
Pendant trois jours, experts, chefs de projets, décideurs étatiques et autres partenaires au développement, tels que l’Unesco et l’Unicef, ont échangé leurs expériences sur la prise en charge de la petite enfance en Afrique. Plusieurs sujets ont été abordés durant la rencontre. On peut citer, entre autres, les enjeux de la formation, les politiques et stratégies de mise en œuvre, les comportements clés pour une bonne prise en charge de l’enfant, la mutualisation des bonnes pratiques, ainsi que l’offre de services communautaires et le rôle des collectivités territoriales.
Généralisation de la prise en charge de la petite enfance Concernant ce dernier aspect,
le Premier ministre a profité de l’occasion pour faire une invite. « Je lance un appel à tous les acteurs, en particulier les élus locaux, pour plus d’implication dans le développement de la petite enfance. Car il ne faut pas oublier que l’éducation est un domaine de compétences transférées aux collectivités territoriales, d’où le rôle primordial qu’elles doivent jouer », a-t-il déclaré. Le Sénégal, selon le Premier ministre, a pris la pleine mesure de l’enjeu du développement des tout-petits. Cette volonté se traduit aujourd’hui par l’engagement du Président Macky Sall de généraliser la prise en charge de la petite enfance depuis les Assises de l’éducation et de la formation tenues en août 2015, a dit M. Dionne. « Il s’agit de faire en sorte que toutes les filles et tous les garçons aient accès à des activités de développement et à une éducation préscolaire de qualité qui les préparent à suivre un enseignement primaire », a-t-il indiqué.
Abordant le thème de la rencontre intitulé « La petite enfance dans les Objectifs de développement durable : quelles offres pour un accès équitable et une prise en charge de qualité », Mahammed Boun Abdallah Dionne a mis l’accent sur les défis à relever. Il a cité, entre autres, l’élargissement de l’accès aux services de développement de la petite enfance, l’amélioration de la qualité des interventions dans les structures dédiées, mais aussi la gouvernance du sous-secteur. Pour relever ces défis, il a appelé à une mutualisation des bonnes pratiques. M. Dionne n’a pas manqué de magnifier l’action des partenaires tels que l’Unicef, l’Unesco et le Groupement des éducateurs sans frontières (Gref) dans cette dynamique.
Pendant trois jours, experts, chefs de projets, décideurs étatiques et autres partenaires au développement, tels que l’Unesco et l’Unicef, ont échangé leurs expériences sur la prise en charge de la petite enfance en Afrique. Plusieurs sujets ont été abordés durant la rencontre. On peut citer, entre autres, les enjeux de la formation, les politiques et stratégies de mise en œuvre, les comportements clés pour une bonne prise en charge de l’enfant, la mutualisation des bonnes pratiques, ainsi que l’offre de services communautaires et le rôle des collectivités territoriales.
Généralisation de la prise en charge de la petite enfance Concernant ce dernier aspect,
le Premier ministre a profité de l’occasion pour faire une invite. « Je lance un appel à tous les acteurs, en particulier les élus locaux, pour plus d’implication dans le développement de la petite enfance. Car il ne faut pas oublier que l’éducation est un domaine de compétences transférées aux collectivités territoriales, d’où le rôle primordial qu’elles doivent jouer », a-t-il déclaré. Le Sénégal, selon le Premier ministre, a pris la pleine mesure de l’enjeu du développement des tout-petits. Cette volonté se traduit aujourd’hui par l’engagement du Président Macky Sall de généraliser la prise en charge de la petite enfance depuis les Assises de l’éducation et de la formation tenues en août 2015, a dit M. Dionne. « Il s’agit de faire en sorte que toutes les filles et tous les garçons aient accès à des activités de développement et à une éducation préscolaire de qualité qui les préparent à suivre un enseignement primaire », a-t-il indiqué.
Abordant le thème de la rencontre intitulé « La petite enfance dans les Objectifs de développement durable : quelles offres pour un accès équitable et une prise en charge de qualité », Mahammed Boun Abdallah Dionne a mis l’accent sur les défis à relever. Il a cité, entre autres, l’élargissement de l’accès aux services de développement de la petite enfance, l’amélioration de la qualité des interventions dans les structures dédiées, mais aussi la gouvernance du sous-secteur. Pour relever ces défis, il a appelé à une mutualisation des bonnes pratiques. M. Dionne n’a pas manqué de magnifier l’action des partenaires tels que l’Unicef, l’Unesco et le Groupement des éducateurs sans frontières (Gref) dans cette dynamique.