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Wade rêve de mourir au pouvoir, selon un journal burkinabé

Le journal burkinabé, Le Pays, n'est pas tendre avec le président Wade. Dans un article, il indique que le chef de l'Etat sénégalais rêve de mourir au pouvoir


Rédigé par leral.net le Lundi 30 Août 2010 à 03:27 | | 18 commentaire(s)|

Wade rêve de mourir au pouvoir, selon un journal burkinabé
Comme tant d’autres avant lui en Afrique, le président Wade rêve de mourir au pouvoir. Après l’annonce de sa candidature à la présidentielle de 2012 pour un troisième mandat consécutif, il vient de procéder à la nomination d’un nouveau président du Conseil constitutionnel, Cheikh Tidiane Diakhaté. Ce dernier étant présenté comme favorable au chef de l’Etat sénégalais, il n’en fallait pas plus pour éveiller les soupçons des opposants et déclencher une pluie de critiques parmi lesquelles celles des experts du droit constitutionnel.

Pour le Premier ministre sénégalais, Souleymane Ndéné Ndiaye, membre du Parti démocratique du Sénégal (PDS) au pouvoir, “la Constitution permet à Wade de se représenter en 2012". “Ceux qui disent que le président de la République ne doit pas se présenter ne font pas du droit”, a-t-il lancé. En fait, la Constitution du Sénégal, adoptée en 2001, limite le nombre de mandats présidentiels à deux. Mais le président Wade, 84 ans, a d’abord été élu en 2000 pour sept ans. Entre-temps, le Sénégal a modifié sa Constitution en vue de passer au quinquennat. Cela a alors permis à Me Wade de se faire réélire en 2007 pour un deuxième mandat, de cinq ans cette fois. Si pour le parti au pouvoir la chose paraît bien légale, pour l’opposition et différents experts, un troisième mandat serait synonyme de “violation” de la Constitution. La Loi fondamentale aux termes de laquelle le président Wade a été élu la première fois pour 7 ans, date de 1963. Elle ne limitait pas les mandats.

M. Sy, un rédacteur de la Constitution de 2000, explique que dans “l’esprit de la Constitution de 2001 », il fallait « éviter des présidents qui font vingt ans au pouvoir comme Léopold Sédar Senghor (1960-1980) et Abdou Diouf (1981-2000) » et opter pour un mandat de dix ans au maximum. Me Wade ayant été élu en 2000 (avec la Constitution de 1963), il fallait donc assurer une période transitoire en acceptant exceptionnellement qu’il fasse éventuellement douze ans”, précise le constitutionnaliste sénégalais.

A Dakar, on rappelle que les candidats à la présidentielle de 2012 peuvent déposer un recours devant le Conseil constitutionnel pour invalider la candidature de Me Wade. Mais pour Ibrahima Sène, “Wade a verrouillé” le Conseil constitutionnel en nommant un de ses partisans à sa tête. En ce qui le concerne, Ababacar Guèye, enseignant en droit public à l’université Cheikh Anta Diop, pose un problème d’âge : “Le Conseil constitutionnel doit invalider la candidature du président Wade. On risque d’élire un président de la République qui aura presque 90 ans, avec des risques de crise politique au Sénégal”. “Un faux débat », réplique le porte-parole du président Wade, Serigne Mbacké Ndiaye. Pour le Parti démocratique sénégalais (PDS, au pouvoir) le décompte doit se faire à partir de 2007, date d’entrée en vigueur du quinquennat, non 2000.

De son côté, l’opposition sénégalaise n’entend pas baisser la garde. Elle comprend outre les membres du Parti socialiste naguère conduit par l’ancien président Abdou Diouf, d’anciens partisans ayant soutenu l’actuel chef de l’Etat dans sa conquête du pouvoir d’Etat. Pour couronner le tout, en début août, un mouvement politique dénommé “Terminus 2012" a été lancé à Dakar pour s’opposer à cet éventuel troisième mandat du président Wade. “Aucun texte ou aucune disposition” ne lui permet “de faire exception” à la règle des deux mandats, dit son initiateur, Amadou Guèye.

Certes, les échanges qui ont cours actuellement au Sénégal témoignent de l’existence d’un réel débat démocratique auquel aspirent tous les peuples de ce continent. Il reste que cela traduit la profondeur de la décrépitude morale qui habite une partie de la classe politique au pouvoir. Ces élites sur qui le continent était en droit de fonder beaucoup d’espoir sont devenues, au fil du temps, des thuriféraires et de véritables assoiffés de pouvoir. Ce sont elles qui rendent aveugles, sourds et féroces les princes, mais sont toujours promptes à changer de vestes ou à crier au loup lorsque le vent du changement balaie les pouvoirs décadents qu’ils cherchent toujours à imposer même contre la simple logique. On l’a vu au Niger et on le voit de plus en plus ouvertement presque partout.

A coups de tripatouillage constitutionnel, de référendum et d’adoption de textes de lois, ils imposent, toute honte bue, leur propre schéma à l’ensemble du parlement par le jeu de la majorité. Ces pratiques, au demeurant anti-démocratiques, sont pour la plupart favorisées par plusieurs facteurs. On note principalement la fragilité des institutions. Il y a surtout le cas des Cours et Conseils constitutionnels où siègent généralement des membres désignés d’office par le pouvoir ou forcément limités dans leurs prérogatives pour ne pas nuire à certains intérêts. Ils devraient pourtant servir de barrières à l’arbitraire et au parjure, en tant que garants suprêmes de la justice que l’on voudrait pleine de sagesse, de noblesse, d’égalité et d’impartialité.

Les élites qui rôdent autour du pouvoir, semblent ne jamais craindre les lendemains qui déchantent. Elles savent bien exploiter les grandes faiblesses du peuple : analphabétisme, manque de formation politique, etc. Accrochées à la nacelle du pouvoir, elles usent de tous les artifices pour convaincre le prince de ses desseins messianiques. Arc-boutés sur leurs propres principes, elles savent si bien justifier la pérennité des pouvoirs en place, qu’on leur offrirait le bon Dieu sans confession. Il y aurait selon elles, nécessité de répondre ad vitam eternam aux attentes désespérées du peuple.

Désormais, pour se maintenir au pouvoir « à vie », la plupart des chefs d’Etat africains n’hésitent plus à exploiter des vides juridiques confectionnés à dessein, et à violer ouvertement leurs propres serments. Même si nul ne doit se prévaloir de sa propre turpitude, on sait désormais comment abuser de la loi pour se maintenir aux affaires. Des thuriféraires sans scrupules seront toujours là, pour claironner que dans son application, la loi ne saurait être rétroactive. Tant pis si le peuple et les démocrates d’ici et d’ailleurs ne sont pas d’accord. Tant pis pour l’opposition, toujours faible, divisée et sans ressources, parfois soumise aux caprices et chantages du prince manipulateur. Tant pis pour les partenaires techniques et financiers (PTF). Mais qu’il a trop attendu, ce diplomate occidental (US) qui a tout de même osé s’en prendre au pouvoir sénégalais à propos de ses dérives !

Mais alors, jusqu’à quand donc continuera-t-on de violer allègrement la Constitution, en la modifiant à son profit, et en permettant au chef de l’Etat au pouvoir de se succéder à lui-même ? Serait-ce ainsi les recettes de la nouvelle démocratie républicaine sur le continent ? Sénégal de Me Wade et de l’après-Senghor, vous ne nous apprenez rien de nouveau. Vous venez tout simplement grossir les rangs de ceux qui tendent à restreindre la république au rang de monarchies absolutistes, et à faire reculer la démocratie au prix de mille sacrifices sur ce continent.

(Plus d'informations demain sur leral .net)


1.Posté par le fou le 30/08/2010 04:06 | Alerter
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jadis l'on était la lumière démocratique du continent, aujourd'hui nous en manquons et en demandons une parcelle de lumière pour un pays trop plein de nuit.
mais au tréfonds de moi,quelque chose me dit quelque part nous sommes bien encore la nation de la liberté et le pays des braves qu' INCHALA 2012 nous allons encore montrer cela au restant du monde.
wa est-ce qu'abdou diouf est encore président de la rue-publique, ohhoo galou doff dou térr

2.Posté par boy kédougou le 30/08/2010 06:56 | Alerter
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Ces NIAKKS de merde n'ont pas de lecon á nous donner, Qu'ils s'occupent du batard qui a tué Sankara et qui a déjá annoncé qu'il changera la constitution pour être président á vie. Wade lui parle de mandat sur la base de la jurisprudence, voire sur l'esprit sous entendant la lecture de la constitution. C'est quoi le Burkina pays de merde et de pauvreté plus qu'absolu. Na niou katt sén ndéye, Niakks you nouka ndéyam yi

3.Posté par sall le 30/08/2010 07:31 | Alerter
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wade guemal yalla gua dem ,guour ngen dou co gnad

4.Posté par guejopaalgnane le 30/08/2010 07:41 | Alerter
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Il est préférable pour l'homme de rêver ne jamais mourir que de rêver seulement mourir au pouvoir.La vie au pouvoir est toujours éphémère comparée à la vie du peuple dans l'autoritarisme, dans le totalitarisme comme dans la démocratie.Et quelque fois pour l'homme il est plus reposant et plus sûr de cherhcer à mourir en pleine nature dans la solitude ou de mourir au milieu de la société en tants que simple homme n'ayant prétendu gourner ses semblables,que de mourir au pouvoir.
Ce qui est sûr c'est que la mort est déjà là et c'est pourquoi certains hommes ne cessent de se demander c'est quand et comment la fin arrivera.Il n'est jamais facile de mourir quand la conscience n'est pas trnaquille et quand l'heure de la rectification et celle du pardon est écoulée.Ainis nous vivons ainsi nous mourrons toujours de même que les princes meurent toujours ainsi qu'ils ont gouverné leur peuple.Je ne voudrais jamais être ce prince que j'ai vu dans un rêve partir dans la pire des solitude et des pauvretés,hurlant d'un terrible mal contre lequel ni sa cour de ministres et de conseillers ne peuvent rien et pourtant couvert de mille et une richesses.

5.Posté par mamadou le 30/08/2010 08:31 | Alerter
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Très bonne analyse, la démarche est cohérente et le débat profond mais accessible.
La réalité dans ce pays est si évidente, pourquoi porter des gants pour défendre la démocratie, il est évident que le pouvoir corrompt inévitablement, mais des valeurs fondamentales auraient pu sauver les téméraires au pouvoir. La défense de la constitution appartient aux constitutionnalises et c'est dans l'ordre normal des choses dans une république.
Jouer avec la constitution, c'est jouer avec le peuple et l'adage dit bien que "les hommes partent, les institutions demeurent".

6.Posté par Etranger le 30/08/2010 09:13 | Alerter
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boy kédougou : et toi tu es quoi?

Sinon, c'est facile pour Wade! pour son souhait, je veux dire.

7.Posté par Boy Ndakarou le 30/08/2010 09:44 | Alerter
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Boy Kawkaw,
Tu n'est pas de kedougou sinon tu éviterais ces reflexions à la con
On est en cdeao et uemoa ,ce ki se passe au sénégal,mali et cote divoire les journaux des différents pays en font un sujet.
Mais toi tu lis pas nos journaux kan ils traitent des sujets des autres pays
B¨gu maa yax sama koor avec des cons ...
On veut la paix dans notre pays et c'est pas parce que tu bouffe par transitivité aux restes de rateliers que tu va défendre l'indéfendable . A tchimmm !

8.Posté par niokhor le 30/08/2010 09:54 | Alerter
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Pourquoi à chaque fois qu'un journaliste étranger dit du mal de notre président nos journalistes en sont heureux?Si c'est le contraire ils disent que le journaliste étranger a été payer par wade.Le journaliste qui a fait ce papier a t il une fois écrit sur Blaise Compaoré et Sankara ou Rober Zongo.

9.Posté par lili le 30/08/2010 10:04 | Alerter
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Effectivement c'est facile pour son souhait : il est au pouvoir et s'il continue il pourrait bien se faire assassiner !!!
Quant à la constitution et au Conseil constitutionnelle, il est là pour défendre les valeurs de la démocratie et le bafouer en mettant à sa tête un président corrompu, c'est grave pour les sénégalais et la démocratie au Sénégal.
D'autre part, si wa fait fi de la constitution pour se représenter, alors que la quasi totalité de la population ne veut plus de lui, c'est peut-être qu'il a aussi l'idée de truquer les élections comme en 2007. A mon sens, l'opposition devrait se canaliser sur l'élaboration de listes d'électeurs conformes et au besoin demander une aide internationale sur se faire, sinon il risque bien d'arriver à ses fins malgré son âge. Un point qui est rarement soulevé aussi alors qu'il a plus de 90 ans aujourd'hui, il a beau se faire lifter, se faire injecter des cellules fraîches en Suisse, se faire injecter je ne sais quoi pour repulper son visage (qui commence à être bouffi) il a plus de 90 ans ...

10.Posté par Bass le 30/08/2010 12:14 | Alerter
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Ce site doit être fermé au plus vite et "leral.net" traduit en justice. Les injures proférées ci-dessus sont inadmissibles.Celui qui est supposé vouloir mourir au pouvoir aurait eu la nausée de s'entendre défendu ainsi. Un "boy..."n'insulte jamais de mère devant des ainés à Kédougou ou ailleurs au pays de la téranga ou de la sous région.Vous devez être tenus responsables de tout ce que l'on peut lire ici.

11.Posté par bara le 30/08/2010 12:38 | Alerter
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Les élites qui rôdent autour du pouvoir, semblent ne jamais craindre les lendemains qui déchantent. Elles savent bien exploiter les grandes faiblesses du peuple : analphabétisme, manque de formation politique, etc. Accrochées à la nacelle du pouvoir, elles usent de tous les artifices pour convaincre le prince de ses desseins messianiques. Arc-boutés sur leurs propres principes, elles savent si bien justifier la pérennité des pouvoirs en place, qu’on leur offrirait le bon Dieu sans confession. Il y aurait selon elles, nécessité de répondre ad vitam eternam aux attentes désespérées du peuple.

12.Posté par Bozz le 30/08/2010 12:53 | Alerter
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Il le disait souvent que tout le monde aimerait mourir au pouvoir.

13.Posté par mamadou le 30/08/2010 13:30 | Alerter
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c'est un bon commentaire de Geelel
" Le journaliste Burkinabe devait commencer à balayer devant sa porte en s'attaquant à Blaise Compaoré qui est arrivé au pouvoir en assassinant Thomas Sankara, Henri Zongo, Jean Baptiste Lingani. A t-il oublié le journaliste Nobert Zongo tué par les services de Blaise et brulé dans sa voiture? Aucune organisation des droits de l'homme ne demande que Blaise soit jugé comme il l'ont fait avec Omar El Bachir et Mulochevic.Blaise a déjà fait 24 au pouvoir et est candidat pour un autre septennat. Ne veut il pas mourrir au pouvoir? Les Burkinabe ont un complexe du Sénégal et sont à l'affût pour tirer dès qu'il s'agit du Sénégalais.
Qui ose parler de limitation de mandat au Burkina? Quel civil ose même approcher le palais présidentiel Burkinabe tandis qu'au Sénégal, les gens viennent qu'a ce photographier avec la garde rouge"

merci geelel de seneweb

14.Posté par waaw le 30/08/2010 15:32 | Alerter
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OUI il va y mourir si DIEU le veut comme la majeur partie de la population l'ont voulu
et qu'un journal Bourkinabé n'a pas à parler de notre très cher président.
Occupez de vos caca SVP ok.

15.Posté par kay le 30/08/2010 16:40 | Alerter
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Boy, kédougou, je te croyais plus intelligent que ça. de la même manière que nos journaux traitent l'information des autres autres, les autres ont également le droit de traiter l'info sénégalaise. Et puis, si Blaise Compaoré fait comme Wade, en tripatouillant la constitution, les journaux sénégalais ne manqueront pas de le critiquer.
Et puis tu peux donner ton avis sur une question sans être insultant, mais puisque tu te crois supérieur aux "niaks" comme tu dis...

16.Posté par xalaas le 30/08/2010 19:52 | Alerter
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Les complexés sont les journalistes Senegalais, qui à chaque fois que de l'etranger, Wade est critiqué, pour eux, c'est de la bibble. Si comme la critique national n'était pas pertnente.

17.Posté par l enseignant le 31/08/2010 06:59 | Alerter
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c est un bon article je rappelle que wade avait declare en 2007 QU IL NE PEUT PLUS ETRE candidat car bloqué par la constitution aujourd hui il revient sur ses paroles ça me rappelle le niger avec Tandian wade n a aucun respect des sénegalais et de lui meme il ne mourrira pas au pouvoir les senegalais prendront leur responsabilite devant l histoire wait and see

18.Posté par lili le 31/08/2010 10:10 | Alerter
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Il peut encore mourir au pouvoir !!! il lui reste encore 1 an et demi pour se décider à mourir ce qui arrangerait bien des affaires.

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