En Gambie, certaines populations ne manquent pas de quitter le pays, avant le déclenchement des hostilités entre les forces armées de ce pays et celles de la CEDEAO (communauté économique des Etats de l'Afrique de l'ouest). il est aujourd'hui indiqué que l'option militaire est la seule possibilité pour installer le président élu Adama Barro dont la victoire est contestée par le parti du Président Jammeh qui a déposé un recours à la Cour Suprême.
La date du 19 janvier qui marque la fin du mandat du Président sortant est fixée pour le départ du Président Jammeh. Et autrement, il sera délogé par les forces armées de la CEDEAO qui semblent disposer de moyens pour la réussite de son intervention en Gambie.
La conférence des chefs d'Etat et de gouvernement de la CEDEAO dont les missions de médiation ont connu un échec, a clairement fait savoir que la date de déploiement des militaires en Gambie sera tenue secrète. Pour cette intervention , la même conférence a révélé que les moyens logistiques et organisationnels vont être fournis par les Nations Unies en collaboration avec la CEDEAO.
Tout cela démontre que l'institution sous-régionale pourrait ne pas attendre la date de la fin de l'ultimatum pour engager la lutte armée en cas de persistance du refus de Yaya Jammeh de céder le pouvoir à Adama Barrow. C'est donc par effet de surprise que le déploiement des forces devra se faire sous le commandement du Sénégal qui a été par la conférence des chefs d'Etat pour diriger les opérations en Gambie. La CEDEAO dispose à travers l'ECOMOG d'une force permanente de 600 soldats issus du Nigéria, du Burkina, du Sénégal, du Togo et du Niger.
Source la tribune
La date du 19 janvier qui marque la fin du mandat du Président sortant est fixée pour le départ du Président Jammeh. Et autrement, il sera délogé par les forces armées de la CEDEAO qui semblent disposer de moyens pour la réussite de son intervention en Gambie.
La conférence des chefs d'Etat et de gouvernement de la CEDEAO dont les missions de médiation ont connu un échec, a clairement fait savoir que la date de déploiement des militaires en Gambie sera tenue secrète. Pour cette intervention , la même conférence a révélé que les moyens logistiques et organisationnels vont être fournis par les Nations Unies en collaboration avec la CEDEAO.
Tout cela démontre que l'institution sous-régionale pourrait ne pas attendre la date de la fin de l'ultimatum pour engager la lutte armée en cas de persistance du refus de Yaya Jammeh de céder le pouvoir à Adama Barrow. C'est donc par effet de surprise que le déploiement des forces devra se faire sous le commandement du Sénégal qui a été par la conférence des chefs d'Etat pour diriger les opérations en Gambie. La CEDEAO dispose à travers l'ECOMOG d'une force permanente de 600 soldats issus du Nigéria, du Burkina, du Sénégal, du Togo et du Niger.
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