Il a fallu des mois à dame B.D pour faire des révélations sur l’origine de sa blessure au bras. Il s’agit d’une curiosité maladive qui l’a amenée à glisser et à se casser le bras, révèle sa camarade G.L, à qui elle s’est confiée, au cours du mois de mai dernier. Les faits se déroulent au quartier Toits-Rouges de Yopougon.
En effet, dame B.D voit arriver de nouveaux voisins qui aménagent en face de son habitation. Un célibataire s’est installé dans cette maison, tandis que dans le bâtiment voisin, une dame dont l’époux est en fonction à l’intérieur du pays a élu domicile. Cette cohabitation et les fréquentations quotidiennes entre ces nouveaux voisins occasionnent la naissance d’une histoire d’amour.
Les deux amants, pour se cacher du voisinage, attendent tard dans la nuit, pour faire la bête à deux dos. Cette situation attire l’attention de la voisine B.D. Ainsi, pour satisfaire sa curiosité, B.D se met aux aguets, à travers les trous de sa cuisine. De petite taille, elle est obligée de supposer des tabourets pour mieux observer les amourettes des deux tourtereaux, sans que son époux ne se doute de rien.
Ce voyeurisme qui ne dit pas son nom devient son passe-temps favori toutes les nuits. Une nuit, cette commère entend les bruits de pas dans le couloir; elle se précipite sur les tabourets pour observer ce qui se passe. Cette fois, les deux voisins infidèles sont dans leurs plus simples appareils.
La voyeuse qui ne veut pas manquer un seul instant de cette scène obscène, essaie de trouver, à travers les trous, une meilleure position pour mieux observer les amoureux.
Soudain, les tabourets lui servant d’appui glissent et B.D s’étale, le nez en sang. Plus grave, elle s’est cassé le bras. Un accident qu’elle éprouve de la gêne à expliquer à son mari. Elle fait croire à son époux que c’est l’excès d’eau dans la cuisine, qui a provoqué sa chute.
Mais comme la vérité finit par rattraper le mensonge, lors d’une causerie au tour d’un repas bien arrosé, B.D révèle à sa camarade G.L les vraies raisons de son handicap au bras. Quelquefois, à force de s’occuper des histoires qui ne nous regardent pas, on finit par y laisser ses plumes.
En effet, dame B.D voit arriver de nouveaux voisins qui aménagent en face de son habitation. Un célibataire s’est installé dans cette maison, tandis que dans le bâtiment voisin, une dame dont l’époux est en fonction à l’intérieur du pays a élu domicile. Cette cohabitation et les fréquentations quotidiennes entre ces nouveaux voisins occasionnent la naissance d’une histoire d’amour.
Les deux amants, pour se cacher du voisinage, attendent tard dans la nuit, pour faire la bête à deux dos. Cette situation attire l’attention de la voisine B.D. Ainsi, pour satisfaire sa curiosité, B.D se met aux aguets, à travers les trous de sa cuisine. De petite taille, elle est obligée de supposer des tabourets pour mieux observer les amourettes des deux tourtereaux, sans que son époux ne se doute de rien.
Ce voyeurisme qui ne dit pas son nom devient son passe-temps favori toutes les nuits. Une nuit, cette commère entend les bruits de pas dans le couloir; elle se précipite sur les tabourets pour observer ce qui se passe. Cette fois, les deux voisins infidèles sont dans leurs plus simples appareils.
La voyeuse qui ne veut pas manquer un seul instant de cette scène obscène, essaie de trouver, à travers les trous, une meilleure position pour mieux observer les amoureux.
Soudain, les tabourets lui servant d’appui glissent et B.D s’étale, le nez en sang. Plus grave, elle s’est cassé le bras. Un accident qu’elle éprouve de la gêne à expliquer à son mari. Elle fait croire à son époux que c’est l’excès d’eau dans la cuisine, qui a provoqué sa chute.
Mais comme la vérité finit par rattraper le mensonge, lors d’une causerie au tour d’un repas bien arrosé, B.D révèle à sa camarade G.L les vraies raisons de son handicap au bras. Quelquefois, à force de s’occuper des histoires qui ne nous regardent pas, on finit par y laisser ses plumes.
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