«Il est inintelligent de ne pas vouloir le bien aux autres.»
Sans remonter si loin, un soi-disant professionnel du micro…de la honte s’est gaussé de propos irrévérencieux, voire déplacés aux fins de se défausser sur la star planétaire, le leader du Super Etoile, Youssou Madjiguène Ndour. Mes yeux rivés sur la petite lucarne, j’ai beau chercher les motivations de ce prophète du malheur qui bourdonne tant de fureur envers le Roi incontestable du «Mbalakh». Pourquoi débiter cette méchanceté vipérine à l’endroit de ce parfait exemple de fierté nationale ? Alors, cette incartade ne fera que rapetisser l’aura (s’il en possède encore) de son auteur. L’enfant prodige de la Médina s’est toujours comporté comme un grand compatriote et, tout le peuple sénégalais, si longtemps bercé par ce musicien au clavier très grand, doit s’enorgueillir. You, on lui doit une fière chandelle !
M. Youssou Ndour, c’est le patriotisme économique fait homme. Combien sont-ils les riches à milliards qui ont choisi délibérément d’aller planquer leurs fortunes dans des banques (souvent étrangères) et restent enfermés dans leurs immenses forteresses ? En véritable développeur et soucieux du bien-être des masses, l’ambassadeur de la culture sénégalaise a fait un choix éclairant : ne pas faire comme Néron qui jouait de la lyre pendant que Rome brûlait. Il a investi des sommes colossales pour contribuer grandement à l’éradication du fléau du chômage et du sous-emploi au pays qui lui est si cher, le Sénégal. Des personnes de la trempe de Youssou Ndour doivent être adorées, adulées, idolâtrées et non pulvérisées, à longueur d’antenne, dans le mortier boueux, pouilleux de la médisance gratuite. Heureusement que l’ «ambianceur» du «Thiossane» n’est pas du genre prompt à effectuer une descente dans les égouts de la vilenie pour répondre à ces mesquineries dignes de brigands coléreux.
L’absolu dévouement, la grandeur incommensurable, l’envergure si enviée du pater du petit Mandela est expertement souligné dans un livre, Le Courage de décider, de Jean-Pierre Chevènement, homme politique français et ancien Premier Ministre, à la page 172, je cite : «(…) Ouvrir la culture française sur le monde largement, en joignant les pays francophones aux pays de langues espagnole et portugaise, pour faire barrage à l’uniformisation marchande. La culture n’est pas séparable de cette orientation de la France vers le Sud et notamment vers l’Afrique qui, est dans sa vocation. Il nous faut faire connaître et aimer les créateurs du Sud, Youssou Ndour le chanteur, Youssef Chahine le cinéaste, Ousmane Sow le sculpteur, Ahmadou Kourouma l’écrivain, et tant d’autres qui ouvriront la France à l’avenir du monde.»
T…, tu sais alors que You ne mérite pas tes baratins !
Ibrahima NGOM Damel,
Journaliste
Un fan’s du You musicien
M. Youssou Ndour, c’est le patriotisme économique fait homme. Combien sont-ils les riches à milliards qui ont choisi délibérément d’aller planquer leurs fortunes dans des banques (souvent étrangères) et restent enfermés dans leurs immenses forteresses ? En véritable développeur et soucieux du bien-être des masses, l’ambassadeur de la culture sénégalaise a fait un choix éclairant : ne pas faire comme Néron qui jouait de la lyre pendant que Rome brûlait. Il a investi des sommes colossales pour contribuer grandement à l’éradication du fléau du chômage et du sous-emploi au pays qui lui est si cher, le Sénégal. Des personnes de la trempe de Youssou Ndour doivent être adorées, adulées, idolâtrées et non pulvérisées, à longueur d’antenne, dans le mortier boueux, pouilleux de la médisance gratuite. Heureusement que l’ «ambianceur» du «Thiossane» n’est pas du genre prompt à effectuer une descente dans les égouts de la vilenie pour répondre à ces mesquineries dignes de brigands coléreux.
L’absolu dévouement, la grandeur incommensurable, l’envergure si enviée du pater du petit Mandela est expertement souligné dans un livre, Le Courage de décider, de Jean-Pierre Chevènement, homme politique français et ancien Premier Ministre, à la page 172, je cite : «(…) Ouvrir la culture française sur le monde largement, en joignant les pays francophones aux pays de langues espagnole et portugaise, pour faire barrage à l’uniformisation marchande. La culture n’est pas séparable de cette orientation de la France vers le Sud et notamment vers l’Afrique qui, est dans sa vocation. Il nous faut faire connaître et aimer les créateurs du Sud, Youssou Ndour le chanteur, Youssef Chahine le cinéaste, Ousmane Sow le sculpteur, Ahmadou Kourouma l’écrivain, et tant d’autres qui ouvriront la France à l’avenir du monde.»
T…, tu sais alors que You ne mérite pas tes baratins !
Ibrahima NGOM Damel,
Journaliste
Un fan’s du You musicien